Sa libération, de source médiatiques gabonaises, intervient 24 heures seulement après la promesse du président de la transition, le général Brice Clotaire Olégui Nguema d’amnistier les prisonniers d’opinion.
« Une façon pour eux de faire respecter leur mot d’ordre de boycott de la rentrée scolaire et de fréquenter les établissements scolaires publics. Ce mot d’ordre de boycott a été lancé depuis le mois d’octobre 2016 et est repris chaque année à l’approche de la rentrée scolaire fixée par le gouvernement de la République ».
Ces trois figures de la scène politiques française ne partagent pas la position ferme de Paris qui refuse toujours de plier aux injonctions de la junte nigérienne, bien que la question de sa légitimité soit bien réelle.
Le gouvernement français a annoncé vendredi qu’il suspendait sa coopération militaire avec le Gabon, suite au coup d’État militaire le 30 août et qui...
Parlant de l’état de santé du président déchu, Hassoumi Massaoudou a indiqué que Mohamed Bazoum et sa famille « ont des problèmes avec le sommeil. Ils ont tous contracté le paludisme ».