Les propos de Gilbert Bawara, ministre de la Fonction publique, du Travail et du Dialogue social, membre influent du parti UNIR qui tient de main de fer le Togo depuis plus d’un demi-siècle, continue de faire des vagues. Ce qu’on apprenait dans les coulisses, à en croire certains, a été confirmé par Monsieur Bawara lors de la messe d’enterrement du 1er Vice-président de l’Alliance nationale pour le changement (ANC), Patrick Lawson-Banku. Cette politique collaborationniste de l’ANC fâche. Surtout la branche internationale du parti qui voit en cette collaboration (dans les coulisses) un cynisme politique et une trahison de la lutte qui vont engendrer notamment des conséquences funestes pour le parti dirigé par Jean-Pierre Fabre. La Fédération internationale demande alors la démission pure et simple du bureau national. Lisez plutôt !
Nous l’écrivions il y a quelques jours. La campagne de commercialisation du soja 2022-2023 a du plomb dans l’aile. Et ce n’est pas parce que les acteurs de ce secteur ont failli, mais juste que certaines mains tapies dans l’ombre veulent déposséder les locaux de cette filière pour l’offrir sur un plateau d’or à des « vautours » qui se ruent vers le soja. Et donc la belle histoire que sont en train d’écrire les acteurs de la filière depuis quelques années en mettant en place même une interprofession, connaît des pages tristes qui risquent de la mettre fin.
Progressivement, le nouveau comité exécutif de l’Association de football de la forêt sacrée de Bè (ASFOSA) s’installe pour une renaissance de ce club de la capitale togolaise. Elus le 19 novembre dernier lors d’un congrès électif qui s’est déroulé au Centre communautaire de Bè, Amegnido Koumako Gato et son équipe ont pris officiellement fonction ce mardi 29 novembre 2022, à travers une cérémonie de passation de charges.
Le nouveau comité exécutif de ASFOSA FC met déjà sa machination de renaissance du club de la forêt sacrée en marche. Après sa prise officielle de fonction, il lance un appel à candidature pour le recrutement d’un entraineur. Voici les conditions :
Pour passer les épreuves écrites du concours des agents de surveillance de l’Office togolais des recettes (OTR), il faut avoir des pièces administratives de nationalité togolaise. Une exigence, plutôt une exclusion qui handicape beaucoup de jeunes dont la compétence est avérée. Le Parti du Peuple et d’Intégrité (PPI) se dit indigné de la situation et interpelle les responsables de l’OTR à travers ce communiqué.
Décidément, les mains noires qui ont juré de plomber la campagne 2022-2023 de la commercialisation du soja n’ont pas baissé d’ardeur. Cette campagne qui devrait commencer depuis la mi-octobre, a été finalement lancée le 9 novembre dernier par le ministère du Commerce, de l’Industrie et de la Consommation locale et celui de l’Agriculture, de l’Elevage et du Développement rural, après moult démarches des acteurs auprès du Conseil interprofessionnel de la filière soja au Togo (CIFS-Togo). Malgré ce retard, ces derniers se sont mobilisés pour faire une bonne campagne. Mais visiblement, c’est compter sans les obstacles que certains décident volontairement de dresser dans le secteur.
Convaincu que les peuples dominés, laminés et lessivés pour se libérer et se reconstruire, "doivent apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon ils mourront tous ensemble comme des idiots;" Martín Luther King
Les acteurs (producteurs et exportateurs) de la filière se sont réveillés ce matin avec un communiqué du gouvernement, notamment du ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Consommation locale, Kodjo Adedze et celui de l’Agriculture, de l’Elevage et du Développement rural, Antoine Lékpa Gbégbéni, invitant les invitant à se préparer pour la campagne de commercialisation 2022-2023. Ceci, après quelques semaines de retard qui amène le secteur à s’interroger.
La filière soja est devenue aujourd’hui incontournable, très prometteuse et prisée par des Togolais qui se sont organisés autour d’elle pour assurer son développement et permettre aux acteurs d’en vivre. D’ailleurs pour cette campagne 2022-2023, 300.000 tonnes sont fixés comme objectif à atteindre, contrairement à 250.000 tonnes produits au cours de la campagne 2021-2022. Mais on se demande s’il y aura la campagne de soja cette année, vu le retard observé dans son lancement.
Les Togolais doivent-ils prêter davantage attention à certains ciments qu’ils utilisent dans la réalisation de leurs ouvrages ? Cette question loin d’être anodine, a tout son sens. En effet, d’après les révélations du très sérieux quotidien privé togolais Liberté, des doutes seraient émises sur la qualité du dernier cimentier sur le marché togolais. CIMCO, puisque c’est de lui il s’agit, déverserait sur le marché des produits dont la qualité est remise en cause.