S´agissant de la participation ou non aux prochaines élections législatives, nous avons notre petite idée que nous avons déjà exprimée à plusieurs reprises en d´autres occasions. Nous disions que, que ce soit le camp des opposants favorables à la participation, que celui des irréductibles qui ne veulent pas en entendre parler, personne n´a actuellement la baguette magique pour chasser le régime de dictature et arriver à la démocratie.
Si on s’en tient à cette définition de la folie, on peut dire que les opposants au régime militaire togolais sont tous…fous, puisque de part et d’autre de la ligne de démarcation que constituent les élections, les uns et les autres répètent la même chose en espérant un résultat différent.
Nous disons : la pousse des partis politiques comme des champignons (alors que le travail de démocratisation n'est pas abouti et qu'aucun consensus sur le système politique adapté aux réalités de l’Afrique n'est encore trouvé) est une anomalie politique.
Partenariat Nord/Sud, Africains et Afro descendants une nouvelle relation s'engage vers l’économie sociale, solidaire et l’économie circulaire pour la création de valeurs économiques et humaines.
La fête d’indépendance est une occasion pour célébrer l’autonomie du pays vis-à-vis de la puissance coloniale qui les gouvernait auparavant, un moment qui permet de rappeler les sacrifices qui ont été faits pour y parvenir ainsi que de célébrer les progrès depuis sa souveraineté. C’est donc un évènement important pour un pays. Cependant, en Afrique, l’indépendance ne rime pas forcément avec la souveraineté, ce qui fait que la célébration de cette fête est vide de sens, une émancipation trompe-œil. Pire, ces célébrations engloutissent un budget colossal qui saigne les caisses de ces pays.
Six mois après le départ effectif des forces françaises, la situation sécuritaire au Mali reste préoccupante. Dans ses récentes interventions, l’homme d’affaires et politique...
Les partis politiques de l'opposition ont participé depuis 1993 à des élections législatives et présidentielles sans avoir pris le pouvoir, ni pesé positivement sur la vie des populations.
«…A moins d’un retournement de situation, à moins d’un miracle, la majorité les Togolais iront remplir leurs devoirs d’honnêtes citoyens dans les urnes. Mais est-ce l’urgence, est-ce ce qui préoccupe les Togolais empêtrés plus que jamais dans la gadoue d’une crise économique toujours aussi dévastatrice? Pourquoi cet acharnement à privilégier le politique au détriment du social…?»Voilà un extrait du journal «Le Correcteur» de mars 2023