Le ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et du Développement des territoires, Payadowa Boukpessi a-t-il autorité à bloquer la décision prise par la commune du Golfe 4 de changer les noms des rues ?L’article 82, point 5 de la loi relative à la décentralisation et aux libertés locales est pourtant clair : l’adressage des voies relève de la compétence propre des Communes. L’article 164 de la même loi précise que « l’annulation des actes relève de la compétence du juge ».
La 6ème édition du festival africain qui valorise le chant chorale et Gospel se déroulera à Lomé du 19 au 23 Octobre 2022. L'annoncé a été faite samedi dernier par le comité d'organisation de l'évènement en présence des professionnels des médias.
« La situation à Aflao ou Akato est une bombe à retardement. La situation est chaotique et le problème s’aggrave sous le regard des autorités compétentes », a déploré la collectictivté Massémé dans le cadre du litige foncier qui les oppose aux Avoussou.
Lorsqu’un projet est peu bien pensé, les résultats attendus déçoivent et ne surprennent pas. Et quand tout part d’une seule personne, il devient normal que le bilan soit imputé à cette personne. Que sont les plateformes multifonctionnelles (PTFM) devenues ? Lancées en grande pompe par Faure Gnassingbé il y a plus d’une décennie, on apprend que…83% d’entre elles sont en difficultés, et près de 50% sont carrément fermées. Que de millions jetés par la fenêtre.
5 janvier 2016, Barack OBAMA verse des larmes en plein discours officiel : c’est à propos des enfants tués lors de fusillades dans les écoles aux États-Unis. Plus de six années après, alors que les massacres dans les écoles continuent, alors qu’un homme vient d’abattre 19 enfants d’une école primaire ce 24 mai 2022, Joe BIDEN se lamente : « Quand en finirons-nous avec le lobby des armes ? ». Le même Joe BIDEN qui se lamente, soutient l’envoi de milliards de dollars en Ukraine pour la guerre.
Il était président de l’Association professionnelle des magistrats du Togo (APMT). Fin 2008, il avait mis la main où ça faisait le plus mal au corps des magistrats du Togo. Malgré ce constat, rien visiblement n’a changé. Lui, c’est l’actuel président de la Cour constitutionnelle, Aboudou Assouma.