En vérité, c’est banal, toujours la même chose. Beaucoup de pays africains avaient connu des coups d’État téléguidés par la France, par exemple, pour gommer un président non conforme. Ainsi, l’élimination physique en 1963 de Sylvanus Olympio, premier président du Togo indépendant.
Lundi, le ministre de la Sécurité et de la protection civile, Gal Yark Damehame a communiqué la neutralisation de deux malfrats au cours d'un cambriolage par une patrouille de la Gendarmerie nationale. Une opération qui s'était soldée par des échanges de tirs avec le décès des cambrioleurs.
Le Programme d’investissements publics (PIP) est le projet récemment mis en branle par les autorités togolaises. Ce programme entend, selon l’exécutif, « contribuer à une croissance forte et à un déploiement accru des services sociaux de base au bénéfice des populations au moment où notre sous-région fait face à la menace du terrorisme et de l’extrémisme violent ».
Pour moi, la question ne se pose pas. L’Ukraine subit aujourd’hui une invasion de la Russie et tout démocrate qui se respecte devrait soutenir l’Ukraine, quoi qu’il lui en coute. Soutenir la Russie juste parce qu’on est opposé à la France reste pour moi un aveuglement géopolitique. Je soutiens surtout le peuple Ukrainien, qui va le plus souffrir dans cette guerre.
Le retard d’une alternance crédible tant souhaitée par le peuple togolais asphyxie davantage la lutte politique au Togo. Face à un régime de plus en plus enraciné mettant en cause la division de l’opposition puis la démobilisation de la population, le Pacte social pour le renouveau (PSR) opte pour une nouvelle stratégie de lutte.
Mercredi, le groupe Progrès Transport, composé des membres de l’Union nationale des transporteurs du Togo (UNATROT) était devant la presse. Objectifs, attirer l'attention de l'opinion et des autorités du pays sur la gestion calamiteuse de l'organisation. Avec un congrès électif à l'horizon, les syndiqués dénoncent avec vigueur, des "tentatives malveillantes pour torpiller l’avenir" du syndicat.
Inculpé, jugé, condamné et envoyé en prison depuis juin 2021, Paul Missiagbeto recouvre sa liberté. Ceci, après neuf (09) mois de peine purgés contre quarante-huit (48) requis dont vingt et quatre (24) avec sursis. Si les combattants de la liberté se réjouissent de la relaxation du Conseiller spécial d’Agbéyomé Kodzo, des questions fusent, néanmoins au sujet des réels mobiles de cette libération presque passée inaperçue.