Malheureusement, le résultat escompté est tout le contraire. Les trois filles se retrouvent à l’hôpital avec des fesses en état de putréfaction. Elles ont dû subir une opération chirurgicale, chacune.
A l’arrivée de la police, certains ont réussi à s’échapper laissant leurs tenues et plusieurs effets scolaires sur les lieux. D’autres, par contre, ont été arrêtés pour besoin d’enquête, a-t-on appris de sources médiatiques.
Aimé Valère Ebouele, conseiller d’orientation au lycée technique d’Ambam, region du Sud Cameroun, est suspendu « sur instruction de madame le ministre des Enseignements secondaires et dans l’attente de sa décision finale sur la situation ».
Des explications du prêtre camerounais, les ravisseurs qui réclament de l’argent afin de libérer les personnes enlevées « n’ont pas dit à quel camp ils appartenaient ».
Des explications du médecin relayées par des journaux locaux en ligne, l’élève arrivé dans un état de choc présentait une rupture à la rate nécessitant une opération pour le sauver.
Selon journalducameroun.com qui rapporte l’information, les quatre individus ont été présentés ce mercredi au procureur de la République. Ils vont répondre de leurs actes devant la justice.
Selon journalducameroun.com, les sapeurs-pompiers ont indiqué que les corps sans vie ont été mis à la disposition de la police et des familles, les blessés conduits d’urgence à l’hôpital.