L’animation de la vie du système éducatif togolais a enregistré près de 2. 600. 000 écoliers et apprenants au niveau du préscolaire, du primaire, du secondaire général et technique et de la formation professionnelle au cours de l’année scolaire 2021-2022 qui s’achève.
Au total, 14 830 écoles sont recensées cette année sur l’ensemble du territoire national, selon les chiffres du ministère des Enseignements primaire et secondaire.
« Face à ce phénomène (violences sexuelles sur apprenants-ndlr), il est apparu nécessaire de prendre des mesures visant à renforcer l’arsenal juridique existant et à préserver les meilleures conditions possibles à l’éducation des enfants », indique le Conseil des ministres.
On n’a pas fini avec les sujets à relents politiques soumis aux candidats du brevet du premier cycle, que le ministre de l’Enseignement supérieur en fait les siennes lors de l’examen du baccalauréat. Il a suspendu un superviseur d’un centre d’écrit pour avoir interdit l’accès aux salles d’examen au préfet des Lacs. Alors qu’au vrai, le superviseur n’aurait fait qu’appliquer une disposition de l’office du Bac, la structure organisatrice de l’examen.
Les enseignants nouvellement admis dans la fonction publique et qui n’ont pas encore fourni tous les dossiers requis pour leur nomination sont sommés de le faire le plus rapidement possible.
Accumuler les diplômes, avoir un cursus scolaire irréprochable, sortir des grandes universités et écoles. Mais pour quelle finalité surtout dans notre Afrique où on a tant de diplômés mais qui sont au chômage mais où le marché de l’emploi recherche des profils qu’il n’arrive pas à trouver?
Le ministre des Enseignements primaire, secondaire, technique et de l’artisanat décide de la fermeture provisoire de quatre écoles publiques. Un arrêté ministériel l’annonce et mentionne la raison.
L’élève en classe de 3e est âgée de 16 ans. Son papa a porté plainte. L’enseignant qui a reconnu les faits dont il est accusé a été placé en garde à vue hier mercredi.