« Dis-moi ce que tu crois être et je te dirai ce que tu n’es pas ». Dans son Journal intime, Henri-Frédéric AMIEL met à nu les consciences puantes qui se couvrent de dentelles comme des manteaux de protection en laissant apparaitre au grand soleil leurs visages lugubres dont personne ne se doute du caractère hideux. Les titres ronflants dont se parent les cascadeurs des civilités républicaines et de l’éthique politique bercent trop peu le monde d’illusion.
Comme beaucoup de ses pairs, le chef de l'Etat togolais Faure Essozimna Gnassingbé a exprimé vendredi sa compassion envers les japonais, suite à l'assassinat de leur ancien Premier ministre, Shinzo Abe.
Le chef de l’Etat, Faure Essozimna Gnassingbé a présidé ce 7 juillet 2022 le Conseil des ministres. Au cours des travaux, le Conseil a procédé à l’examen et à l’adoption du projet de loi portant modification de dispositions législatives en faveur des droits de la femme, en vue de poursuivre l’amélioration du cadre juridique de protection des droits de la femme.
Dans une enquête menée par un collectif de journalistes indépendants, et auquel le journal Français « L’Obs » s’est associé, révèle que le chef de l’Etat togolais, Faure Gnassingbé, a acquis une villa en terre française d’une valeur de plus 790.000 euros alors qu’il était étudiant à l’époque.
« La limitation des mandats présidentiels est la clé du progrès démocratique et de la sécurité en Afrique » (Joseph Siegle et Candace Cook).Notre pays fait de nouveau parler de lui négativement. Comme c’est devenu l’habitude. Le Togo s’est coalisé avec la Côte d’Ivoire et le Sénégal pour s’opposer une fois encore à la limitation du mandat présidentiel dans l’espace CEDEAO. C’est d’autant plus étonnant que la limitation de ce mandat est un acquis dans notre pays. C’est ce que tout le monde pensait, du moins, depuis trois ans.
« Dis-moi ce que tu crois être et je te dirai ce que tu n’es pas ». Dans son Journal intime, Henri-Frédéric AMIEL met à nu les consciences puantes qui se couvrent de dentelles comme des manteaux de protection en laissant apparaitre au grand soleil leurs visages lugubres dont personne ne se doute du caractère hideux. Les titres ronflants dont se parent les cascadeurs des civilités républicaines et de l’éthique politique bercent trop peu le monde d’illusion.
Manifestement, les Togolais sont condamnés à souffrir sous le régime de Faure Gnassingbé. Et pour très longtemps. Déjà la crise sanitaire liée à la pandémie du Covid-19 qui sévit depuis plus de deux ans avec ses nombreuses conséquences et le conflit russo-ukrainien ont fait fortement dégrader les conditions économiques des populations.
Le Togo est un pays unique en son genre. Il n’y a pas son deux sur la planète Terre. Un véritable empire de la corruption où les prévaricateurs sont royalement traités. C’est ainsi que des individus sans foi ni loi, des apatrides de l’honneur « s’enjaillent » et fassent exploser l’applaudimètre au motif que la justice qui dit tout sauf le droit, ait un délivré un blanc-seing contre ceux qui ont détourné des centaines de milliards Fcfa dans l’affaire de la commande des produits pétroliers.
Le 26e sommet des chefs d'Etat du Commonwealth qui s'est ouvert lundi à Kigali, au Rwanda, a finalement vu l'intégration du Gabon et du Togo dans l'organisation.
17 Juin 2021-17 Juin 2022. Il y a un an jour pour jour, le célèbre prisonnier du Togo, Kpatcha Gnassingbé est transféré en urgence au pavillon militaire du CHU Sylvanus Olympio de Lomé. Il souffrait d'une plaie au pied dont la gangrène avancée l'exposait à une amputation certaine. Aucune information ne filtre depuis qu'il est évacué pour des soins.