Le capitaine a été tué « à bout portant », lit-on, par les hommes non identifiés, souligne le journal centrafricain en ligne. La femme malade qu’il transportait décède également à l’hôpital des suites de ses blessures.
Selon des journaux congolais en ligne, la société civile locale a annoncé la mort de trois civils durant l’attaque et cinq autres personnes faites otages.
Ils sont une demi-douzaine de jeunes, élèves le jour et cambrioleurs la nuit. Ils forment un réseau opérant essentiellement dans la ville de Kara que la Brigade de recherches et d’investigation (BRI) de la localité a réussi à démanteler.
Le bilan fait état de 15 personnes tuées, dont une dizaine d’enfants et un soldat des Forces armées de la république démocratique du Congo (FARDC), a rapporté ce mardi Radio Okapi.
Des témoignages rapportés par la radio des Nations unies en RDC, des bandits armés se sont introduits au domicile de l’officier de police l’abattant devant sa femme.
Selon l’Agence d’information du Burkina (AIB), les deux hommes, avec un apprenti chacun, avaient quitté le 17 avril dernier Ouagadougou, la capitale du pays. Ils se rendaient à Dori, « où ils devaient faire le dépotage dans une station d’essence », lit-on.
Cette fois-ci, c’est le poste de police de Namissiguim, dans la région du Centre-nord du Burkina Faso, qui a été la cible des individus armés non identifiés.
De sources bien renseignées, le porte-parole de la police de l’État de Taraba, Usman Abdullahi, a indiqué que trois personnes sont mortes et dix-neuf autres sont blessées dans l’explosion.
Selon la radio des Nations unies en République démocratique du Congo, la société civile locale a confié que ces personnes étaient tous des cultivateurs. Ils ont été tués par des présumés combattants du mouvement rebelle des Forces démocratiques alliés (ADF).