L’opposant togolais, « comprend parfaitement que les journalistes se sentent contraints de revenir sur leurs publications dans le but (…) » Au regard des intimidations dont font face souvent les journalistes.
Joël Egah, Directeur de Publication du journal "Fraternité", a également réagi sur son compte Facebook, quelques jours après sa sortie de prison. A l'instar du confrère Ferdinand Ayité, le confrère Joël Egah n'a pas manqué de remercier tous ceux qui ont milité pour leur libération. Mais il dit aussi sa vérité. Lisez plutôt!
Les confrères Joël Egah et Ferdinand Ayité sont sortis de la prison civile de Lomé le 31 décembre passé. Ils sont placés sous contrôle judiciaire. Sur sa page Facebook, le Directeur de Publication du journal « L’Alternative » a fait une déclaration. Ferdinand Ayité se dit très déterminé à « être du côté de la vérité ». Lisez plutôt !
Ce n’est plus un secret. Hier vendredi aux environs de 16 heures, les confrères Ferdinand Ayité et Joël Egah ont recouvré leur liberté. Ils ont pu passer le réveillon de la Saint-Sylvestre avec leur famille.
Ce vendredi 31 décembre, la justice a décidé de leur mise en liberté provisoire. Les directeurs des journaux « L’Alternative » et « Fraternité », en effet sont placés sous contrôle judiciaire.
Cette organisation internationale de défense de la liberté de la presse et la protection des sources des journalistes demande la libération des deux journalistes demande la libération des deux patrons de presse.
Au Togo, les médias privés qui vivent principalement de ce qu'ils produisent, n'ont plus d'interlocuteurs-partenaires dont la couverture des activités ou la pub elle-même permettrait de renflouer les caisses.
Plaignant, non plaignant puis plaignant. Le rôle du ministre Kodjo Adédzé dans l’arrestation et la détention de Ferdinand Ayité et Joël Egah demeure toujours flou. La sortie du procureur de la République en rajoute à la cacophonie, signe d’une affaire montée de toutes pièces pour nuire à des voix dissidentes.
Voici en partie, ce que Éric Zemmour, lui aussi journaliste et homme politique en France a osé dire du président d'une des Républiques les plus puissantes et les plus inspirantes pour les pays francophones d'Afrique :
Après les confrères Ferdinand Ayité et Joël Egah, c'est au tour du confrère Isidore Kouwonou d'être auditionné par le doyen des juges d'instruction du tribunal de Lomé.