« Ils ont montré que cette décision de la fermeture des lieux de culte était une décision qui a pris fondamentalement l’option biomédicale. Et, qu’on a oublié d’autres aspects de l’être humain à savoir l’aspect psychologique, l’aspect anthropologique, l’aspect social, l’aspect spirituel qui fait partie aussi de la vie humaine. Quand une personne est très angoissée, stressée, cela influence aussi au niveau de son immunité naturelle », a déclaré mercredi l’Aumônier national des cadres catholiques du Togo sur les ondes de BBC Afrique.
Ces nouveaux cas de contamination portent à 25 368 le bilan global des cas confirmés pour un total de 512 748 tests de laboratoire qui a été effectué, selon le site officiel d’information du gouvernement.
Le nombre de cas actifs passé à 2 355 les dernières 24 heures, selon les chiffres officiels annoncés mardi soir. Ce nouveau bilan fait moins de malades sous traitement par rapport aux quatre derniers jours.
Même si la tendance s’inverse peu à peu, toujours est-il que le virus circule. Il continue par tuer. Selon les dernières données, le nombre de décès en effet s’est élevé à 227 ce lundi. « Une personne non vaccinée et porteuse de comorbidités », lit-on, est décédée depuis dimanche.
Elle dénonce la fermeture des lieux de culte (églises, mosquées, etc.) et la stratégie vaccinale, notamment l’imposition de la vaccination aux citoyens par le gouvernement.