Vendredi Lomé, des patrons de presse du pays ont été outillés sur « Journalism Trust Initiative ». Un outil d’autoévaluation qui permet au média de s’engager dans une démarche qualité.
Les 49ème assises internationales de la presse francophone auront lieu à Hammamet (Tunisie), du 17 au 19 novembre 2021, en amont du XVIIIe Sommet de la Francophonie qui se tiendra à Djerba les 20 et 21 novembre 2021. Les inscriptions pour prendre part à ces assises sont déjà ouvertes.
Le bihebdomadaire « L’Alternative » a repris du service ce mardi. Et ce, après 4 mois de suspension par la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC). Toujours droit dans sa ligne éditoriale, le confrère fait son entrée avec un nouveau dossier plus solide sur le notaire-ministre Tsolenyanu.
A l’occasion de la Journée mondiale de la Liberté de presse célébrée ce 3 mai 2021, le confrère Narcisse Prince Agbodjan du journal en ligne « linterview.info » a pondu une tribune qui dépeint la situation de la presse togolaise. Il revient sur la précarité des journalistes togolais. Bonne lecture.
En effet, dans certaines parutions du mercredi dont celle de “ Le Matinal ”, il a été placardé à la “UNE ” que « Yayi Boni prépare une nouvelle tension à Savè », sous-titré « Les activités malsaines de l'ex Président dans les collines »
Ce jeudi 11 mars 2021, la Cour d’Appel de Lomé a repris le procès opposant les Adjakly au journal L’Alternative et Ferdinand Ayité, dans l’affaire dite de « PétroleGate ».
Le bras de fer entre L’Alternative et le ministre en charge de l’Urbanisme Me Koffi Tsolenyanu, n’est pas encore fini. Même suspendue pour 4 mois de parution, le bihebdomadaire continue de « déranger ».
La Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication est droite dans ses bottes. Elle trouve normale les multiples censures qu’elle inflige ces derniers mois aux médias privés togolais.
Dans une longue lettre adressée au président de la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC), le Directeur de Publication de L'Alternative, Ferdinand Ayité, exprime son indignation par rapport à la suspension de son journal pour une durée de 4 mois. Il proteste contre cette sanction de la HAAC.