Togo – Agression du député Sagna : Tous auraient pu agir autrement
Le journaliste Anani Sossou, s’exprimant sur l’agression du député Guy Marius Sagna à Lomé, souligne la responsabilité des élus et…
Le journaliste Anani Sossou, s’exprimant sur l’agression du député Guy Marius Sagna à Lomé, souligne la responsabilité des élus et…
Dans une nouvelle analyse sur le contexte politque en Afrique, le journaliste togolais, Carlos Ketohou, dresse un tableau incisif des dérives autoritaires en Afrique de l’Ouest et les conséquences d’une gouvernance fondée sur la concentration des pouvoirs et l’absence d’institutions solides. De l’héritage des dictatures à la montée des coups d’État, il se questionne la pérennité de régimes comme celui de Faure Gnassingbé et rappelle que le mépris des aspirations populaires n’est jamais sans conséquences.
Dans un contexte où les dirigeants africains peinent à traduire leurs discours d’optimisme en actions concrètes, la récente déclaration du chef de l’Etat togolais, Faure Gnassingbé à l’ONU soulève des interrogations sur la capacité des gouvernements à répondre aux véritables attentes des populations. Le président du mouvement Lumière pour le Développement dans la paix (LDP), OURO-AKPO Tchagnao, à travers une analyse des contradictions entre les discours politiques et la réalité socio-économique du Togo et de l’Afrique, met en lumière les défis persistants auxquels sont confrontés les dirigeants africains face à la quête d’une véritable indépendance économique et d’une gouvernance transparente.
Il s´appelle Germain Tomégah, un parent de la cheffe de gouvernement togolais, Madame Victoire Tomégah-Dogbé, et est propriétaire d´une école privée dénommée «La Madone». Et dans cet établissement privé qui acceuille des enfants mineurs il se passe des choses horribles qui, sous d´autres cieux, auraient déjà entraîné l´intervention de la police, de la justice et éventuellement la fermeture de l´école. Mais nous sommes au Togo et le lien de parenté entre le directeur de cette école privée, pas comme les autres, avec l´une des égéries de Faure Gnassingbé à la tête du gouvernement, est synonyme de dérives de toutes sortes et d´impunité. Comment tout a commencé derrière les murs de «La Madone» pour que nous ayions aujourd´hui un scandale aussi révoltant qu´insupportable?
Dans un cri du cœur poignant, José-Eric Gagli, Directeur du journal Togonyigba déplore l’état actuel de la jeunesse togolaise, tiraillée entre l’inaction et la manipulation politique. Alors que les réseaux sociaux deviennent le théâtre de querelles stériles, il appelle à une prise de conscience collective et à un engagement constructif pour un avenir meilleur.
Dans un résent post sur sa page Facebook, l’activiste des droits de l’homme, Ayayi Togoata Apédo-Amah dénonce l’hypocrisie des puissances occidentales, particulièrement les États-Unis et l’Union Européenne, qu’il accuse de complicité dans le massacre du peuple palestinien. L’universitaire condamne la violence incessante contre des civils sans défense, appelant à la cessation immédiate des bombardements et des crimes de guerre.
Jean Anawi, qui a récemment démissionné du parti Alliance Nationale pour le Changement (ANC) dirigé par Jean Pierre Fabre, réfléchit…
Il y a 30 ans que David Ahlonko Bruce, 49 ans, haut fonctionnaire du ministère togolais des affaires étrangères et ancien chef de cabinet de Mgr Philippe Fanoko Kpodzro, président du Haut Conseil de la République (HCR), parlement de la transition, a été enlevé à Lomé. 30 ans de recherches infructueuses. 30 ans de questionnements. 30 ans d’angoisse.
Les tendances économiques se développant en France depuis la crise de 2008 ont reçu un important coup d’accélérateur dès l’installation au pouvoir suprême de la république en 2017 du parti d’Emmanuel Macron, dont le cadre de la politique intérieure et de la politique étrangère autodestructrice mène directement vers la récession économique dans laquelle la France est en train d’entrer à grand pas.
Son nom est cité partout, il fait partie depuis un moment du paysage footballistique togolais depuis qu’il s’est attribué le pseudo du roi de la gagne des Éperviers notre équipe nationale sur un média de la place réclamant une bagatelle de 25 millions de nos francs que la FTF-Fédération Togolaise de Football ne lui aurait pas payé après sa contribution par des moyens ésotériques et mystiques aux victoires du onze national. Que de l’esbroufe !