L’Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO) écrit à Faure Gnassingbé, le chef de l’Etat, à « tenir compte des conseils pertinents de l'ancien ministre de l'Intérieur, Me François Akila Boko qui appelle à un renforcement de ‘’capacité opérationnelle’’ de l'armée et à ‘’veiller au moral des troupes’’ pour ce qui est des moyens militaires et sécuritaires » dans le cadre de la lutte contre le terrorisme dans le pays.
L'Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO) s'indigne de ce Jean-Paul Oumolou soit " toujours gardé en isolement comme un otage par les militaires de la gendarmerie".
L’ ASVITTO interpelle le Ministre de la Justice à œuvrer pour la levée de l’interdiction des visites dans les prisons. Ceci, en raison de la réduction du risque de contagion de la maladie du Coronavirus au Togo. Un plaidoyer lancé par l'organisation dirigée par Kao Atcholi dans un communiqué datant du jeudi 03 mars 2022. Par ailleurs, l’ASVITTO exhorte également les autorités gouvernementales à user de leurs prérogatives de remise de peine pour les détenus au Togo.
Le pays de Faure Gnassingbé est évalué au Conseil des droits de l’homme de l’Organisation des nations unies (ONU) pour son troisième Examen périodique universel (EPU). Selon l’Association des victimes de torture au Togo (ASVITTO), « le fond des réponses données par la délégation togolaise ne ressemble pas à la réalité que les Togolais vivent ».
Le Togo est passé, lundi dernier, devant la Commission des droits de l'Homme de l'ONU à Genève en Suisse. L'Association des victimes de torture au Togo (ASVITTO) note ses observations.
Depuis le mois de juillet 2021, les responsables de l’Association des Victimes de la Torture au Togo (ASVITTO) ont initié une formation à l’endroit des acteurs communautaires sur les principes et valeurs des droits humains. A l'issue de cette formation qui a fait objet d'une tournée sur toute l’étendue du territoire, les responsables de l'ASVITTO formulent des recommandations aux autorités du pays. Bonne lecture.
C’est une localité délaissée avec des populations vivant dans une précarité indescriptible que l’Association des victimes de torture au Togo (ASVITTO) était allée voir le 16 novembre dernier, après un communiqué du gouvernement faisant état d’une attaque terroriste dans la région. Cette association demande donc au gouvernement, à travers ce communiqué, de mettre en place un programme de développement, afin d’endiguer toutes velléités de terrorisme dans la région et permettre aux populations de vivre en paix.
Le bras de fer qui oppose le gouvernement aux enseignants, suite à la grève de 48 heures observée par la FESEN les 3 et 4 novembre derniers, n’a pas encore connu son épilogue. Surtout que le ministre de tutelle, Prof. Dodzi Kokoroko a révoqué au moins mille trois cent quarante-cinq (1345) directeurs d’écoles et entend prendre d’autres sanctions à l’endroit des grévistes.
L'affaire dite de « Tigre Révolution » n'est pas close. Dans un communiqué, L'Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO) en parle. L'ASVITTO évoque les conditions de détention des personnes arrêtées dans le cadre cette scabreuse affaire. Très préoccupée par leur situation, ASVITTO formule quelques recommandations à l'endroit des autorités gouvernementales. Lisez plutôt !