Le 27 décembre 2022, à l’unanimité des députés présents à l’Assemblée nationale, deux projets de loi ont été adoptés. Le premier portant modification de la loi n°2016-008 du 21 avril 2016 relative au code de justice militaire, et le second lié au statut des magistrats et auxiliaires des juridictions militaires. Par le vote de ces deux lois favorisant l’opérationnalisation de la justice militaire au Togo, les Togolais peuvent alors se demander si les infractions de toute nature, commises par des militaires ou assimilés, leurs coauteurs et leurs complices ne resteront plus impunies ? Analyse !
Un séisme de magnitude 7.8 vient de frapper la Syrie et le sud-est de la Turquie occasionnant d'importants dégâts matériels et de pertes en vies humaines. Le bilan provisoire fait état de 500 morts.
Vendredi dernier, sept (7) lauréats issus de l’Ecole Supérieur des Affaires (ESA) se sont vus honorés et attribués des attestations de mérite après avoir réussi l’examen du Diplôme d’Etude Supérieure de Comptabilité de Gestion Financière (DESCOGEF).
La pompeusement dénommée Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC), normalement organe de régulation de la presse, depuis sa création n’a brillé que par la suspension et même l’interdiction de parution ou de diffusion de médias privés. Les journaux «La Nouvelle» de Bonéro Lawson, «L’indépendant Express» de Carlos Kétéhou, la radio «Légende FM» et la chaîne de télévision «LCF», qui durent mettre la clé sous le paillasson, jetant ainsi plusieurs dizaines de citoyens togolais dans la précarité, en savent quelque chose.
La Ligue des Consommateurs du Togo (LCT) trouve exagérée la décision de suspension des journaux TAMPA EXPRESS et LIBERTE. Elle demande à la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC) de rapporter ses décisions.
Le Mouvement Martin Luther King (MMLK) n'est pas d'accord avec "la suspension, coup sur coup, du journal quotidien LIBERTÉ et de l’hebdomadaire TAMPA EXPRESS". Dans une déclaration publiée samedi, LA VOIX DES SANS VOIX invite l'institution à protéger les médias.
L’un des plus grand défis auquel font face certains pays de l’Afrique de l’Ouest reste l’érosion côtière. Le Togo, qui se retrouve entre le Ghana et le Bénin aussi touchés par le phénomène, connaît depuis quelques années, un recul de côte des plus inquiétants dans la sous-région et dans le monde. Habitations, écoles, hôpitaux, terres et routes se retrouvent dans le ventre de l’océan, laissant les populations impuissantes et sans voix. Malheureusement, le désastre continue, faute de politique pouvant atténuer ou limiter un tant soit peu les dégâts et permettre aux victimes de souffler. État des lieux.
L’Afrique est en mutation. A force d’insister dans les médias politiquement corrects dits « mainstream » que les crises sont « naturelles » en Afrique, autrement dit, du ressort de la fatalité, l’Africain lambda finit par oublier qu’il s’agit d’abord de la politique menée par les ancêtres et les descendants des dirigeants occidentaux qui est, quasi-systématiquement, à l’origine des problèmes africains non résolus. L’exemple du média RT France ou du journaliste d’investigation Martinez Zogo du Cameroun, éliminés unilatéralement du paysage audiovisuel pose le problème des objectifs des commanditaires. Les citoyennes et citoyens africains ne peuvent rester dans la douleur, l’indignation sans réagir à des abus de pouvoir. La mutation de l’Afrique n’est plus une option, mais une obligation pour sauvegarder l’indépendance, le droit à l’information et la souveraineté des peuples.
AVIS DE RECRUTEMENT
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