Dans une lettre ouverte, Dr. Georges William-Kouessan du parti Santé du Peuple saisit le chef de l'Etat sur le controversé projet de révision constitutionnelle en cours à l'Assemblée nationale. L'opposant qui manifeste vigoureusement sa désapprobation, demande à Faure Gnassingbé d'user de ses prérogatives de chef d'État et surtout de celles de garant de la Constitution, pour arrêter cette forfaiture en gestation qui n'honore guère le pays.
Devant la presse ce lundi 18 mars 2024, au siège du parti à Lomé, les responsables des Forces Démocratiques pour la République (FDR) ont réagi au sulfureux projet de révision constitutionnelle en cours à l'hémicycle, porté par des députés dont le mandat a expiré depuis le 31 décembre 2023. Indignés, Me Dodji Apévon et ses collaborateurs disent « Non » à ce qu'ils qualifient de « braquage constitutionnel » et lancent un appel à tous les Togolais à un sursaut patriotique pour empêcher la forfaiture.
La Fondation Tony Elumelu, en partenariat avec la Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ), soutenue par l'Union européenne (UE), a lancé la deuxième édition de l'initiative Women Entrepreneurship for Africa(WE4A).
L'opposant Jean Kissi était, cette semaine, l'invité dans l'émission "Echo Togo". Le Secrétaire Général du Comité d'Action pour le Renouveau (CAR) se prononce sur sa participation aux prochaines élections législatives.
Le chef de l’État, Faure Essozimna Gnassingbé et son gouvernement étaient à Aného les 15 et 16 mars 2024 où ils ont tenu leur premier séminaire gouvernemental de l’année.
Dans un communiqué, l'Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral (ADDI) condamne ferment la tentative de révision en catimini de la constitution. Le parti de Prof. Aimé Gogué demande au chef de l’État de l’arrêter et s’associe à toute initiative citoyenne et politique visant à faire échec à cette démarche illégale et illégitime. Lecture.
Selon une étude panafricaine de l’Institut de recherche pour le développement (IRD) sur les dynamiques familiales, le « célibat tardif » et la « stérilité volontaire » gagnent du terrain dans les trois capitales africaines visées.
Dans un communiqué, la Dynamique pour la majorité du peuple (DMP) monte également au créneau contre la modification de la constitution en cours à l'Assemblée nationale.