Ils reprennent à leur sauce le mot « discipline ». Ils en usent, en abusent même. Ils en font même le mantra de leur parti politique. Qui n’a jamais entendu des militants d’Union pour la république (UNIR) marteler à l’envi le fameux « À UNIR, nous sommes très disciplinés » ? On a tellement entendu cette phrase toute faite, qu’on en a les oreilles rebattues.
Me Zeus Ajavon n’est plus à présenter. L’ancien leader du « Collectif Sauvons le Togo », en conférence de presse mercredi à Lomé, s’est prononcé sur la situation sociopolitique actuelle.
Le président national du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio ne cesse de dézinguer la concertation nationale entre acteurs politiques (CNAP) initiées par le régime.
L’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) remobilise sa base. Ce week-end, le président de la jeunesse du parti, Jean Eklou a échangé avec les jeunes militants du quartier Baguida, dans le Golfe 6.
Lors de la conférence de presse animée la semaine dernière au siège de son parti à Lomé, l’opposant Jean-Pierre Fabre a accusé les journalistes. Il souligne que ces derniers ont eux aussi leur part de responsabilité dans l’impasse politique dans laquelle le pays est plongé depuis la présidentielle de 2020.
Le bras de fer entre Mgr Kpodzro et Jean-Pierre Fabre est loin de connaître son épilogue. Le président de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) invite le prélat à se retirer des affaires qui le dépassent.
Dans une tribune libre, Francis Pedro Amuzun de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) se prononce sur la situation sociopolitique du pays. L’homme politique ne reste pas indifférent à la misère de ses compatriotes. Il exprime son indignation, dénonce la mauvaise gouvernance érigée en règle au Togo.
Lors de la conférence de presse de l’Alliance nationale pour le changement (ANC) mercredi dernier, Jean-Pierre Fabre a abordé plusieurs sujets : Mgr Kpodzro, 2020, accusations de corruption, sacrifices consentis, impasse, CEDEAO… Le Président national du parti a été particulièrement virulent contre Mgr Philippe Fanoko Kpodzro. Morceaux choisis de ses déclarations sur fond de tacles glissés. Bonne lecture.
Au Togo, en trois décennies de lutte pour la démocratie, le compteur est resté bloqué à zéro. L’alternance n’est jamais au rendez-vous en dépit de toutes les initiatives prises çà et là et qui à la fin, confinent au mythe de Sisyphe : revenir pour recommencer. Alors, d’autres voix comptent agir de manière différente pour arriver à cette alternance tant souhaitée.
Exilé, Agbéyomé Messan Kodjo (AMK), était l’espoir du peuple togolais pour l’alternance en 2020. Mais le « hold-up électoral », et l’éternel retour du même dans un pays fermé à toute évolution démocratique, confinent cette alternance à un rêve non encore assouvi. Aujourd’hui, a-t-on des éléments pour recréer l’espoir quant au rêve que demain, il fera beau ? Agbéyomé Kodjo en fait la démonstration dans cet entretien avec la rédaction du journal La Manchette. De l’occasion, il a abordé plusieurs questions qui suscitent polémiques et inquiétudes dans le landerneau politique togolais. Des sujets économiques, notamment le Sommet de Lomé sur le passage du CFA à l’Eco, puis l’actualité politique africaine, le Tchad, le Mali, et les désaccords entre Paris et Bangui... ont été évoqués.