C’est l’affaire qui agite certains milieux à Lomé : un septuagénaire rend l’âme alors qu’il faisait l’amour avec une apprentie couturière d’une vingtaine d’années.
Alors qu’elles étaient sorties des décombres par les orpailleurs présents sur les lieux, « elles étaient déjà asphyxiées », lit-on. Et leur décès a été constaté par une infirmière dépêchée sur les lieux du drame.
Ces victimes, pour la plupart des civils dont des femmes et des enfants, ont été tuées le week-end dernier lors des attaques menées par les miliciens CODECO (Coopérative pour le développement du Congo).
Ensuite, le lendemain, l’abbé Jacques Zerbo du diocèse de Dédougou, selon les informations, a été enlevé. Avant d'être exécuté dans la province du Sourou.
Arrivée sur les lieux, la police judiciaire a pu « dénombrer et identifier dans un premier temps vingt et un (21) corps sans vie », avant de découvrir le jour suivant « sept (07) autres corps ». Portant le nombre de cadavres à 28.
De sources médiatiques burkinabè, l’annonce a été faite samedi dans un communiqué signé le ministre des Transports, qui parle d’un « incident grave » ayant occasionné « cinq blessés (…), des pertes en vies humaines ». Un bilan susceptible d’évoluer.