Au moins onze (11) personnes, pour la plupart des enfants, sont décédés dans le feu aux origines inconnues. Six (06) autres personnes sont dans un état critique, apprend-t-on de la chaîne NTV UGANDA.
La plupart des sites d’actualités n’ont évoqué la cause du décès de l’ancien ministre en charge de l’environnement. Néanmoins, le webmagazine sur l’environnement vert-togo parle d’un malaise sans entrer dans les détails.
« En effet, le recensement Général de la population et de l'habitat est une opération de dénombrement des populations tant des nationaux que des étrangers vivant dans un pays, recommandée par les Nations Unies. Cette opération est décennale (chaque dix ans). A travers cette opération, le Togo aura une appréciation effective de sa population (autochtones et étrangers vivant sur son territoire) », explique le MMLK.
L'Organisation des Nations unies (ONU) qui a condamné la mort des 15 migrant. Elle appelle les autorités libyennes à une "enquête rapide, indépendante et transparente pour traduire tous les auteurs en justice", lit-on.
« Nous avons réalisé des capsules vidéo prenant en compte les adolescents, les jeunes, les personnes au foyer ou non, les personnes du troisième âge, ceux vivant en ville ou en campagne. Cela a permis d’avoir des points de vue assez diversifiés et contradictoires à la suite desquelles intervient un spécialiste de la question », a expliqué le consultant Sylvio Combey Combetey, relayé par le site Africa Rendez-Vous.
<< Une personne a été retrouvée morte le corps complètement calciné. 08 autres personnes ont été grièvement brûlées et transportées à l’hôpital (...) >>, lit-on.
Selon 24 Heures au Bénin qui a rapporté l’information, la découverte macabre a eu lieu au lendemain de la disparition du petit garçon. Le drame est survenu dans l’arrondissement de Kpanroun.
Selon journalducameroun.com qui rapporte l’information, les quatre individus ont été présentés ce mercredi au procureur de la République. Ils vont répondre de leurs actes devant la justice.