Dans une note adressée aux opérateurs économiques, l’Office Togolais des Recettes (OTR) a mis fin aux fonctions du COTEC, une agence controversée et dirigée par un expatrié au port de Lomé, avec pour mission, la cotation des valeurs des véhicules importés. Bon nombre de Togolais ont dénoncé et récusé les taxes d’importation, souvent astronomiques, appliquées par la douane Togolaise sur les véhicules d’occasions importés; une situation liée aux valeurs irréalistes données en amont par COTEC, à chaque véhicule. Le gouvernement de Faure Gnassingbé vient de surprendre les acteurs de ces secteurs avec une décision prononçant et actant la fin définitive du contrat de COTEC à compter du 31 Janvier dernier 2022.
L’OTR par son service, Section Évaluation des Véhicules d’Occasions de la Division des opérations douanières de Lomé-Port reprend la charge de la mission d’évaluation des véhicules importés. À cet effet, un système informatique nouveau AEVO qui est l’application d’évaluation des voitures d’occasions, vient d’être introduit aux importateurs de voitures et aux transitaires ce 16 Février à la Direction des opérations douanières Lomé-Port.
Les questions que se posent beaucoup de Togolais sur ce sujet sont pertinentes et sans réponses. ‘Est-ce que les frais de douanes sur les véhicules d’occasions seront désormais revus à la baisse et plus abordables?’ , demandent certains. Selon Docteur Kate, un représentant HCTE des Togolais aux États-Unis d’Amérique qui s’exprime souvent sur ce sujet et auteur d’une lettre ouverte adressée au Chef de l’État Togolais pour une réduction des frais de douanes aux Togolais, ”Le non-renouvellement du contrat à COTEC est une grande nouvelle qui passe inaperçue. Une décision patriotique, responsable et courageuse. Good move! et Thumbs up! au gouvernement Togolais. D’autres pays de la sous-région ont fait pareil et c’est d’intérêt national pour l’économie du pays, le bien être de ses fils et filles. La baisse des frais de douanes sur les véhicules d’occasions est ce que tout le monde attend de voir prochainement pour apprécier l’après COTEC”.
Notons que seulement, moins d’une vingtaine de véhicules hybrides, ont bénéficié des avantages avantages fiscaux et d’exonérations offertes par l’OTR l’année dernière et plus de 50% des opérateurs de véhicules d’occasions du port autonome de Lomé ont perdu leurs affaires.
Le parc automobile togolais étant vétuste avec ses lots de décès sur les routes, un secteur privé agonisant sous l’effet de la pandémie de COVID-19, que propose l’OTR aujourd’hui différemment à COTEC?
Vivement que le dédouanement des voitures d’occasion sera maintenant raisonnable car le dédouanement est plus cher que le prix de transport des voitures sur le Togo.
Il faut être stupide pour continuer d’envoyer des voitures d’occasion au Togo et continuer de pays des frais de douanes astronomiques pour continuer d’engraisser la Kozah Nostra, la mafia pilleuse satanique diabolique maléfique et sadique des man.geurs de chi.en dirigée par les GNASSINGBE !!! Si l’on veut faire tomber ce régime militaro-tribaliste sclérosé, il faut savoir l’assecher financièrement aussi!!!
Arrêtez de payer des taxes au régime mafieux militaro-tribaliste des GNASSINGBE !!!
Les journalistes et députés attendent quoi pour harceler ces gens de OTR qui mangent bien, roulent dans des voitures de luxes, ont des maisons un peu partout et même en dehors du Togo. Ils sont là et nous on est tous à moto et on meurt fatta après accident. Tu vas à Cotonou ou.au Ghana, tu vois les voitures, tu regardes comme si tu viens du village or le Togo était bien devant ces villes là. Mettez de nouveaux jeunes à l’OTR on va voir ce que le sang nouveau ou jeune peut faire. Faurevi, balaie nous ce secteur. Même si on descend la douane sur les voitures, le Togo fera encore plus d’argent pour le budget de l’État parce que, les quantités d’importation vont augmenter, les petites entreprises vont s’équiper pour les débouchés à l’intérieur du pays. Qu’est-ce qu’ils ne comprennent pas à l’OTR?
Comparez nous les différences de prix entre OTR et COTEC on va voir.