Une cinquantaine de personnes recrutées « par voie de contrats à la Délégation à l’organisation du secteur informel (DOSI) sont licenciées. Une réorganisation du ministère auquel elle est rattachée serait la raison.
C’est depuis ce mardi 1er mars que la sentence est tombée. Et elle est justifiée par une nouvelle organisation au sein du ministère de l’Inclusion financière et de l’organisation du secteur informel, département auquel la DOSI a été rattachée il y a un moment.
« La restructuration organisationnelle et fonctionnelle consacre la fin des missions et activités autrefois déléguées à l’ex DOSI. Conséquemment, elle rend impossible la poursuite de toute fonction d’agents recrutés par voie de contrats autres que ceux de la fonction publique ». C’est en ces termes que Combetey Prince-Agbodjan-Semetoh, le responsable administratif et financier dudit ministère explique la nouvelle donne, obligeant à se séparer précisément de 49 agents, émargeant anciennement sur le budget de la Délégation à l’organisation du secteur informel.
Si Mazamaesso Assih, la ministre de l’Inclusion financière et de l’organisation du secteur informel, avait tenu des propos rassurants en mai dernier, ils n’ont pas été suivis d’effet. Alors que ces ex-agents de la DOSI espéraient bénéficier au moins des avantages liés à ce qu’ils considèrent comme un « licenciement économique ».
Le curieux dans cette affaire est qu’un courrier leur a été envoyé, les interdisant de parler de leur renvoi. « Je viens par le présent mail vous rappeler que la note d’information qui vous a été envoyée ce jour pour diffusion en interne doit strictement rester en interne. Tout contrevenant à cette consigne répondra de ses actes », peut-on lire dans la correspondance que Maipa Pakidame, secrétaire général du ministère de l’Inclusion financière et de l’organisation du secteur informel, leur a adressée.
Les ex-employés de la DOSI sont en colère. Beaucoup d’entre eux ruminent leurs récriminations. D’autres attendant qu’une solution soit trouvée à leur problème dans les tout prochains jours.
La médiocrité gnassingbéenne à haute dose …
“The right man at the right place” , eux , au sein de leur mafia, ils ne connaissent pas …
Tout n’est que cosmétique avec belles femmes et saupoudrage avec des diplômes douteux dans ce maudit pays appelé Togo!
Oh damn!
Et avec ca comment peut-on esperer a un avenir certain dans ce pays. La jeunesse ne sait plus quoi faire: se perdre dans les meandres des reseaux sociaux: tiktok, facebook, ect…le n*gre lui ne fait que danser
Et faire ce que les ivoiriens appellent “Kpakpato” sur les réseaux sociaux, c’est ce que les togolais savent faire de mieux en ce moment au lieu d’affronter courageusement et vaillamment cette Kozah Nostra, la mafia pilleuse satanique diabolique maléfique et sadique des man.geurs de chi.en dirigée par les GNASSINGBE !!! TOGOLAIS, REVEILLEZ-VOUS !!!
Le Togo de l’énergumene Faure Dracula zieux hooonnn de hibou GNASSINGBE sera bientôt en faillite parce trop endetté et incapable de rembourser sa dette !!! Faure l’énergumene timbré l’a lui-même reconnu !!!