« Sous quelque gouvernement que ce soit, la nature a posé une limite aux malheurs des peuples. Au-delà de ces limites, c’est ou la mort, ou la fuite, ou la révolte » (Denis Diderot)
Pendant que Faure Gnassingbé se montre implaccable avec ses opposants dont certains croupissent dans les geôles de la dictature et d’autres contraints de vivre loin de leur terre natale, il se démène sur le continent pour amener des frères ennemis à fumer le calumet de la paix. Le jeune président arbore désormais le costume de médiateur et propose ses bons services dans plusieurs pays. C’est ce que nous apprend « Jeune Afrique ». Le magazine panafricain renseigne que « depuis des mois, le président togolais et son ministre des Affaires étrangères multiplient les initiatives pour faciliter le dialogue entre les putschistes et les organisations régionales ».
« Mali, Guinée, Guinée-Bissau, Tchad… Lomé propose le dialogue aux frères ennemis. Deux hommes sont à la manœuvre : d’abord le chef de l’État, qui a hérité de son père, le général Gnassingbé Eyadéma, sa propension à se poser en médiateur. Et Robert Dussey, ministre des Affaires étrangères depuis neuf ans, sherpa envoyé aux quatre coins du continent, dont la personnalité est proche de celle du président qu’il sert », écrit le journal.
Il est vrai que depuis fin 2018, après la grave crise sociopolitique qui a ébranlé le régime de Faure Gnassingbé, le Togo affiche des apparences de quiétude. Ce n’est pas pour autant qu’on peut dire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Ce contexte de stabilité est flatteur. Derrière les apparences illusoires de tranquillité, le climat sociopolitique n’a jamais été autant tendu. Le pays va mal. Le régime s’est radicalisé. Les frustrations et les rancoeurs sont énormes. La désespérance s’accentue. Le feu couve sous la cendre et il suffit d’une étincelle pour le ranimer. Raison d’ailleurs pour laquelle l’Etat d’urgence « sanitaire » peine à être levé.
Le régime fait régner la terreur dans le pays. Plusieurs adversaires de Faure Gnassingbé, pour leurs opinions, ont été contraints de fuir le Togo. Les moins chanceux sont embastillés et moisissent en prison. En plus des espaces de libertés fortement restreintes, une chasse aux opposants est organisée par le pouvoir et la police politique de Faure Gnassingbé, le Service central de recherches et d’investigations criminelles (SCRIC) traque impitoyablement militants et leaders politiques, activistes, membres de la diaspora, journalistes, etc.
La justice, le dernier rempart censé assurer la cohésion sociale, est instrumentalisée à des fins de règlements de comptes politiques. « Le SCRIC enlève un citoyen comme il veut, quand il veut, où il veut, avant de lui trouver, après une détention administrative abusive de plusieurs jours, des chefs d’accusation taillés sur mesure par des procureurs nommés comme des gardiens du temple et rompus dans l’art de ne pas dire le droit », s’insurgeait le mouvement de la diaspora togolaise, Coditogo.
Sur le plan social, la situation n’est pas non plus réluisante. En témoignent la désespérance liée à la cherté de la vie et le ras-le-bol des enseignants qui organisent des grèves à répétition pour exiger de meilleures conditions de vie et de travail. Là aussi, le régime a opté pour la terreur, en sanctionnant durement certains enseignants. D’autres ont été enlevés et envoyés directement en prison, sans autre forme de procès.
Malgré ce tableau affligeant, Faure Gnassingbé a décidé de jouer la politique de l’autruche. Il laisse pourrir la situation à l’intérieur dans son pays et prend son bâton de pèlerin pour aller régler des crises ailleurs. Pensant être à l’abri de tout danger…
Médard AMETEPE
Source : Liberté / libertetogo.info
Quel est le sens de la dernière phrase ?
AUCUN ETRE HUMAIN NE PEUT PRETENDRE ETRE PLUS INTELLIGEANT ET PLUS RUSE QUE LE CREATEUR. RIEN N’EST ETERNEL SUR TERRE. TOUT SE PAIE ICI BAS. TOUT EST POUSSIERE. LA FORCE DIVINE ET CELLE DE LA NATURE ONT TOUJOURS LE DERNIER MOT SUR LES DICTATEURS, LES MALFAITEURS, LES ASSASSINS, ETC…ETC. EN TANT QU’ETRES HUMAINS SI NOUS N’AVONS PAS LA CRAINTE DE DIEU AU MOINS AYONS CELLE DE LA NATURE.
Depuis 2005, on invoque Dieu. Entre-temps, les Togolais meurent sous les balles de la dictature.
Ce truc sur cette photo se dit ‘ Médiatère’ au Mali? Makoula!
Voila un gars qui ne parle jamais a sa propre population et qui se dit Médiateur!
Voila un flemmard qui emprisonne ses propres frères et ses opposants qui se dit Médiateur. Circulez, Rien a signaler.
Lolll, El Nino, le machin sur la photo aux zieux hooonnn de hibou ne va jamais être media-terre au Mali!!! C’est ce que ses maîtres colons lui ont rappelé à travers l’attentat de Kpendjal!!! Si cet énergumène est un peu intelligent, il doit renoncer à ses velléités de médiation au Mali. Sinon la haine et la foudre de ses maîtres colons vont s’abattre sur lui!!! Donc je pense que le parrain de la Kozah Nostra, la mafia pilleuse satanique diabolique maléfique et sadique des man.geurs de chi.en, ne sera pas médiateur au Mali. Sinon ses Forces armées tribales (FAT) seront décimées !!!
Ce Nullard taré de Faure est coincé de partout. S’il fait équiper les Forces Animalement Tarées, il se fera zigouiller par ceux-ci un beau matin.
S’il laisse les Forces Armées Tribales(FAT) sans entrainement, le jihadistes vont les décimer a cœur joie un après l’autre.
Si Faure veut absolument être médiateur, le petit Macaroni, oups, Macron va le zigouiller. Alors, que faire?
Qu’il laisse le pouvoir au vrai vainqueur des élections de 2020 et qu’il quitte le.Togo pour aller gna.per ses pu.tes en prison (Reckia Madougou) ou en Égypte !!!
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