Ce genre de tragédie devient de plus en plus récurrent en occident où de jeunes femmes quittant leur famille pour des études y perdent leur vie dans des circonstances étranges. Cette fois-ci, c’est une jeune étudiante gabonaise résidant en Turque qui est retrouvée morte.
Du nom de Jeannah Danys Dinabongho Ibouanga, la jeune fille âgée de 18 ans, a été retrouvée samedi dans une rivière près d’une voie ferrée, non loin de l’université de Karabük (nord) où elle étudiait le génie mécanique, rapportent les médias turcs.
Selon les premières constatations, la jeune femme serait morte “noyée” et aucune autre blessure ou de trace de violence sexuelle n’ont été repérées.
La cause exacte du décès devrait être précisée à l’issue d’une autopsie dont le rapport est attendu “dans les prochains jours”, indique la chaine privée NTV.
Le ministère gabonais des Affaires étrangères a fait part, dans un communiqué lu à la télévision gabonaise, de sa “consternation et de sa vive préoccupation (après) l’assassinat de notre compatriote”, précisant que sa représentation en Turquie avait reçu pour instruction de réclamer une autopsie et l’ouverture d’une enquête judiciaire sur ce drame.
Dans un message vocal, présenté sur Twitter comme un appel de “Dina” à sa mère, l’étudiante en pleurs a supplié sa mère de la laisser partir pour l’université de Sakarya, à moins de deux heures de route à l’est d’Istanbul : “Il n’y a pas de racisme là-bas”, a dit la jeune femme.
En décembre dernier, une étudiante togolaise âgée de 22 ans avait été assassinée au nord de Marseille en France.
Cette situation devrait interpeller les gouvernements africains à développer le système universitaire dans leurs propres pays et à valoriser les formations et diplômes obtenus dans lesdites universités. Cela réduirait le flux des jeunes étudiants en occident.
Développement de nos système s universitaires oui et pourquoi pas on pourrait aussi acceuillir des étudiants d’ailleurs. En attendant, le gouvernement togolais n’a pu exiger d’enquetes sur le deces de celle-ci ni de l’autre en Egypte. Le gabon a fait quand a lui un certain pas