Il y a seize (16) ans, à son arrivée au pouvoir, au lendemain du hold up électoral de 2005, Faure Gnassingbé a fait un serment. Celui de faire autrement que son défunt père qui, après trente et huit (38) ans de règne, laisse un Togo complément exsangue. Mais à l’arrivée, ce rêve de l’«Esprit nouveau» pue l’illusion.
Du rêve…
«Lui, c’est lui. Moi, c’est moi !», dixit, en avril 2005, Faure Gnassingbé dans la ville des 7 collines, Atakpamé. En guise de serment, le fils du père qui, dans un premier temps a capté le pouvoir d’une facilité déconcertante, sous le couvert de l’Armée avant de se heurter à la farouche résistance, tant de l’opinion nationale que de la communauté internationale, a dû se replier pour revenir 2 mois plus tard pour promettre mieux faire que son géniteur, qui aura dirigé d’une main de fer et dans la terreur, le Togo.
Accord politique global (Apg), Commission vérité justice et réconciliation (Cvjr), Haut- commissariat à la réconciliation et au renforcement de l’unité nationale (Hcrrun), le Médiateur de la République…les idées d’institutions sociopolitiques et politiques capables de réunir à nouveau les togolais autour d’un idéal commun n’ont pas manqué.
Constat, cette constellation d’institutions n’ont pu estomper la gabegie financière, la corruption, le favoritisme, le népotisme devenus sports favoris. Mieux institués en règle. Même la création de la Haute autorité de prévention et de lutte contre la corruption et les infractions assimilées (Hapluccia) n’est à ce jour qu’un bleuf de plus.
…À l’illusion
Signe d’un régime en phase de ménopause d’inspiration, toutes ces mesures n’auront été que des illusions de plus. Et pour toujours caracoler à la tête du pays, Faure et son régime ont vite trouvé l’idée de berner les togolais par une politique sociale qui s’est révélée n’être en réalité que du brouillard bien servi en lieu et place d’une vision bien conçue.
Volontariat senior, Volontariat international de réciprocité, Volontariat de compétences, Volontariat d’engagement citoyen (VEC), Projet de Filets Sociaux et Services de Base (FSB), Projet de Soutien aux Activités Economiques des Groupements (PSAEG)/Plantes à Racines et Tubercules (PRT), Projet de développement communautaire et des filets sociaux (PDCplus), Projet d’Opportunités d’Emploi pour les Jeunes Vulnérables, Programme national de développement de la plateforme multifonctionnelle (PN-PTFM), Programme de Soutien aux Microprojets Communautaires (PSMICO), Programme de développement communautaire en zones urbaines (PDC-ZU), Programme d’Appui au Développement à la Base (PRADEB), Projet d’Appui à l’Employabilité et à l’Insertion des Jeunes dans les Secteurs Porteurs (PAEIJ-SP), Programme d’urgence de Développement Communautaire (PUDC) téléchargé express du Sénégal…
Que de projets et des milliards engloutis, avec l’aide de la Banque mondiale, de la Banque africaine de développement (Bad), de la Banque ouest africaine de développement (Boad), le Pnud, entres autres, dans la mise en œuvre de la politique de Développement à la base mais dont les comptes sont aujourd’hui loin des résultats escomptés. Ce, si ce ne sont que des mirages de succès pour paraître beau aux yeux desdits partenaires au développement puisque la pauvreté continue d’être le meilleur compagnon des togolais qui ne savent plus à quels saints se vouer.
Résultante d’une vision mal inspirée
À l’analyse, le caractère infructueux de cette politique sociale pourtant déclinée en plusieurs projets structurants se révèle la résultante d’une vision mal inspirée dont la preuve en est le PND. Tant vantée pour être la panacée d’une économie structurée du pays mais finalement et subtilement converti en Feuille de route gouvernementale 2020-2021. Ce résultat en deçà des attentes est aussi, à en croire nombre d’analystes, fruit de l’inadéquation avec les réalités togolaises des politiques de développement tous azimuts que vantent à Faure et son exécutif, les fameux experts comme Carlos Lopez et Dominique Strauss Khan que démarchent des réseaux de lobbyistes mafieux qui se sucrent allègrement sur le dos des contribuables togolais sans réels impacts.
Malheureusement, malgré l’échec de leur expertise, ces fameux experts à solutions inappropriées aux problèmes togolais, puisque généralement calquées sur les modèles occidentaux, continuent d’être miroités, à coup de fortunes, par le «prince» comme la panacée pour l’émergence du Togo.
À défaut d’être productif, Faure Gnassingbé, après de nombreuses années passées à bricoler, se doit impérativement de changer de paradigme. Songer à des solutions endogènes qui soient en conformité avec les réalités togolaises s’impose aujourd’hui comme la seule alternative. Cela permettra néanmoins au pays de disposer, avec les milliards qui servent à entretenir ces fameux experts qui ne vendent que des solutions exogènes, de ressources suffisantes pour des solutions togolaises aux problèmes togolais.
Autrement, le régime cinquantenaire du Togo, vraisemblablement à court d’idées, continuera par patauger dans le colmatage et navigation à vue. Mais sans pour autant parvenir à traduire dans les faits, son fameux rêve qui restera malheureusement de l’illusion.
Source: Fraternité Info
Faure l’illusionniste, Faure le magicien aux zieux hooonnn, Faure le parrain de la Kozah Nostra, la mafia pilleuse satanique diabolique maléfique et sadique des man.geurs de chi.en !!! Les togolais en ont marre des analphabètes Gnassingbe !!!
Quand on s’encoquine avec un violeur en série notoire comme DSK, on comprend vite que ce n’est pas sérieux, ce du vent ce que l’énergumene timbré Faure Aveleleble Gnassingbe alias Dracula zieux hooonnn et sa mafia pilleuse des man.geurs de chi.en (Kozah Nostra) nous proposent !!! Les togolais ne veulent plus voir les analphabètes Gnassingbe !!! C’est L’OVERDOSE DES GNASSINGBE AUX ZIEUX HOOONNN !!!
Faure l’hypnotiseur aux zieux hooonnn, les togolais n’ont pas voté pour toi, tu le sais bien!!! DONC TU DOIS DEGAGER AU PLUS VITE!!!
Le peuple togolais qui n’a pu se liberer merite bien ses dirigeants apres tout
Il n y a que les gens qui pensent que FAURE est à l’origine de leur misère en Europe et aux USA qui peuvent écrire ce que vous raconter ici. Le Togo de 2020 n’a rien à voir avec le Togo de 2005. Faure fait des erreurs mais gère le Togo avec les togolais de tout bord.
Faure n’est pas au CHU, ni chez les policiers ni chez les enseignants qui délaissent les écoles
Origine du Covid-19 : bientôt la fin du mystère ?
L’origine du coronavirus SARS-Cov-2, responsable de la pandémie de Covid-19 depuis presque deux ans, est capitale pour comprendre son fonctionnement et se préparer à d’autres épidémies dans les années à venir. Après la thèse de l’origine naturelle, celle d’un accident de laboratoire – hypothèse longtemps écartée – semble de plus en plus probable.
Connaîtra-t-on un jour l’origine exacte du coronavirus SARS-Cov-2 apparu à Wuhan, en Chine, fin 2019 ? Saura-t-on si la pandémie, qui a fait au moins 5 millions de morts selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et mis à genoux l’économie mondiale, était d’origine animale ou la conséquence d’un accident de laboratoire ? Laquelle de ces deux thèses est dans le vrai ? Le mystère demeure.
Depuis l’apparition de ce redoutable virus et son cortège de variants, la vérité sur la réalité de l’épidémie a été malmenée de toutes parts et, parfois, sciemment cachée. Pour ne pas déplaire au pouvoir central chinois, les médecins lanceurs d’alerte de Wuhan ont été, dès le départ, sommés de se taire, les autorités locales de la région du Hubei n’ont pas alerté Pékin, retardant la prise en compte de l’épidémie par la Chine comme par l’OMS. Et une fois informée de la réalité de cette épidémie aux contaminations exponentielles, l’administration de Xi Jinping a sciemment menti en minimisant les chiffres. Car l’épidémie dépassait le cadre sanitaire et recouvrait des enjeux géopolitiques et économiques.
Rapport d’experts de l’OMS controversé
À ces dissimulations se sont ajoutées fake news et thèses complotistes. En plein bras de fer commercial avec la Chine, Donald Trump prenait ainsi un malin plaisir à parler du « virus chinois » tout en ne faisant rien pour freiner sa propagation mortelle une fois qu’il avait atteint les Etats-Unis. Et alors que les services de renseignements américains déclaraient que l’origine du virus était animale, Trump assurait avoir vu des preuves liant le Covid-19 à un laboratoire de Wuhan, le fameux laboratoire P4 créé en 2018 avec la France dans la capitale mondiale de la recherche sur les coronavirus.
La thèse de l’accident de laboratoire est alors violemment contestée par la communauté scientifique et notamment par 27 chercheurs qui signent le 9 février 2020 dans la revue scientifique de référence The Lancet une tribune pour fustiger le complotisme et assurer que le virus avait une origine animale.
Pourtant au fil des mois, la thèse de la zoonose – le passage d’un virus baptisé RaTG13 de la chauve-souris à l’homme via un intermédiaire qu’on pensait être le pangolin – va s’effriter, minée par les zones d’ombre et les révélations sur Peter Daszak, le « chasseur de virus » auteur de la tribune et soupçonné de conflits d’intérêts depuis que ses liens avec le laboratoire de Wuhan ont été révélés…
L’accident de laboratoire redevient plausible et les chercheurs qui passaient pour des illuminés pour avoir émis ne serait-ce que des doutes sont alors davantage écoutés.
Le rapport d’experts de l’OMS et de scientifiques chinois, publié le 30 mars 2021, suscite la controverse en ne retenant que la thèse de la contamination animale et conduit le patron de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, à réclamer une étude approfondie sur la thèse de l’accident de laboratoire qui est alors à peine évoquée.
Mais pour travailler sérieusement sur cette piste, encore faudrait-il disposer de données. Le conseiller médical de la Maison Blanche Anthony Fauci avait exhorté Pékin à communiquer des données médicales précises. Celles de mineurs qui avaient contracté en 2013 des syndromes respiratoires dans une mine du Yunan, à quelque 1 800 kilomètres de Wuhan. Et celles des chercheurs de l’Institut de Wuhan qui auraient contracté des symptômes compatibles avec le Covid-19 en novembre 2019, un mois avant le début officiel de l’épidémie et après avoir visité une grotte de chauve-souris. Las ! La Chine n’a jamais transmis ces données.
Y a-t-il eu la main de l’homme ?
Si un accident survenu dans le laboratoire – dont des failles de sécurité avaient éveillé l’attention des autorités américaines début 2018 – a pris de la consistance, il reste encore beaucoup de questions sans réponses. Le Sars-Cov-2 s’est-il accidentellement échappé du laboratoire de Wuhan où il était stocké ? Est-il devenu transmissible à l’homme après un « gain de fonction » consécutif à sa mise en culture ? Ou est-il une « chimère » entièrement fabriquée en laboratoire à partir d’un autre virus ?
Il est pourtant capital de connaître l’origine du coronavirus pour pouvoir anticiper. Car d’autres épidémies verront le jour dans les années et les décennies à venir, il n’y a hélas aucun mystère là-dessus.
Philippe Rioux