La plupart des individus considèrent le Bitcoin comme une monnaie numérique créée par Satoshi Nakamoto pour servir de moyen de trading. Cependant, le Bitcoin est également un actif numérique tradable. Cette importante monnaie numérique basée sur Internet utilise la cryptographie pour contrôler la création d’unités supplémentaires, effectuer des transactions financières et vérifier le transfert des actifs.
Attention : cet article n’est pas une recommandation d’investissement. Vous devez mener vos propres investigations avant d’investir dans un actif financier. Les experts peuvent se tromper, la finance n’est pas une science exacte et elle est risquée. Cet article a pour unique but de transmettre des informations aux lecteurs, pas de les inciter à investir.
C’est sans doute amusant, mais révélateur de l’indéniable réalité qui se vit dans les marchés aussi bien à Lomé qu’à l’intérieur de notre pays.
Savez-vous pourquoi les politiques publiques donnent rarement de résultats probants dans nos pays en Afrique, notamment francophone ? C’est tout simple, nous avons plus de diplômés que des hommes d’action que l’on pourrait dénommer des intellectuels affranchis capables de rendre dynamiques leurs connaissances et leurs acquis d’ordre intellectuel ou même spirituel.
Sur cette page, tout comme dans plusieurs de nos écrits dans les journaux privés et dans nos émissions débats, nous l’avons souvent martelé, le regard que nos dirigeants ont toujours porté sur la culture et qui consistait à n’accorder que des aides aux acteurs de ce secteur, n’était pas du tout le bon.
Au départ, sa collecte dans notre pays était essentiellement limitée aux chefs d’entreprises qui, au moment de la création de leur structure, se doivent de la verser sur une base presqu’arbitraire. L’on parlait à l’époque de la Taxe de Résidence (TR). Puis, à compter de l’année en cours et à la faveur du vote d’une loi sur le code général des impôts, elle fut élargie aux différentes couches socioprofessionnelles disposant au moins d’un compteur électrique.
Il existe présentement dans notre société, beaucoup de phénomènes qui semblent anodins sinon normaux, mais risquent de devenir très préoccupants aussi bien pour nos dirigeants que le peuple lui.
Le Togo chute de 26 rangs, en passant de la 74e place (en 2021) à la 100e place du nouveau classement mondial de la liberté de la presse de Reporters sans frontières (RSF).
Ces dernières années, l’Etat togolais a insisté sur la nécessité pour le secteur des médias de se professionnaliser davantage. A travers le ministère en charge de la Communication et des médias, il s’est fortement impliqué aux côtés des autres acteurs des médias dans la relecture du code de la presse et de la communication. Ce code revisité prévoit désormais des entreprises de presse en lieu et place des organes de presse. L’idée est d’encourager les médias à sortir de l’informel. Aussi, la HAAC a-t-elle dorénavant un droit de regard sur les médias numériques.
La question, certainement, apparaîtra aux yeux de beaucoup de diplômés africains comme absurde et absolument insensée. Mais elle a des replis de subtilités qui la fondent et la justifient amplement.
