ACTUALITES PAYS Politique Togo

Togo/5 février 2022 : Déjà 17 ans que Gnassingbé Eyadéma s’en est allé. La légende du baobab vit !

Le 5 février 2005, déjà 17 ans que le « Baobab a été déraciné par la force du destin !, Pour reprendre les propos de l’homme lui-même. Celui-là que d’aucun qualifie aujourd’hui à tord ou à raison, de père de la nation disparait à l’âge de 69 ans, frappé par une crise cardiaque qui lui aurait été fatale selon un communiqué du gouvernement.

Politique Togo

Togo-Dr Christian Spieker : « On ne peut pas bien construire un pays si on ne prend pas le passé pour référence »

En politique il est connu de tout le monde, surtout en Afrique qu´il est rare de louer ou rendre hommage à son adversaire politique ou à son prédécesseur surtout quand il s´agit par exemple d´un dirigeant politique, même s´il a bien fait ou a certaines qualités en lui. On fait tout pour effacer son histoire et ce qu´il a fait de bon pour son pays. En Afrique cette réalité est encore plus frappante. Cela est dû à la manière dont les gens viennent au pouvoir. En Europe on honore ceux qui ont fait la grandeur de leurs pays pendant les moments difficiles de leurs histoires. Cela se traduit par leurs statues érigées partout dans les villes européennes, petites ou grandes. Ceux qui ont une fois visité les villes en occident le savent. Il n´y a aucune ville où on ne voit la statue de telle ou telle personnalité historique qui a, soit lutté pour son pays ou l´a dirigé. Même celles des scientifiques ou savants, on en voit partout.

ACTUALITES Société Togo

Togo-Mesures restrictives sur les veillées de Noël et de nouvel an

La sortie du médecin-Colonel Mohaman Djibril, Coordonnateur du Comité de gestion pour la riposte contre la Covid-19, ce mercredi 22 décembre 2021, présageait déjà ces mesures restrictives. Il avait annoncé la hausse des cas de contamination à la pandémie ces derniers jours dans le pays et n’écartait pas la possibilité de décider des mesures restrictives pour les fêtes de fin d’année.

ACTUALITES Politique Togo

Togo-Encore un prisonnier politique gravement malade et hospitalisé d´urgence

Dima Massaoudou, c´est le nom de l´infortuné. Âgé d´environ 42 ans, originaire d´un petit village du nom de Kédjikandjo près de Sokodé, donc dans la préfecture de Tchaoudjo, sa triste histoire ne diffère pas tellement de celle de beaucoup de ces dizaines de prisonniers enfermés depuis plusieurs années au sein de l´ancienne gendarmerie face à la BTCI à Lomé.

Politique Togo

Togo-Dr Christian Spieker : « Je vise l’unité de toute la société togolaise »

Il est important pour moi de m´expliquer à mes concitoyennes et concitoyens sur le bien fondé de la désignation du mouvement et son sigle en création en français et en allemand et non dans une de nos langues du pays comme par exemple ma langue maternelle ou dans d´autres comme kabyè, éwé, akposso, kotokoli, bassar, moba, losso, etc, ..ce que certains trouveraient normal s´ils étaient à ma place. Moi, je ne crée pas le mouvement pour une seule région du Togo mais pour tout le Togo. Voilà la raison très simple : je ne suis pas régionaliste.

Politique Togo

Absence du Togo au sommet de Joe Biden sur la démocratie : Les véritables raisons

Ainsi donc le Togo, pays dont le régime est toujours dans l’obsession d’être le modèle, le « bon élève » dans toutes les catégories (sauf dans l’essentiel) sera parmi les abonnés absents du sommet sur la démocratie qu’organise l’administration américaine du président Biden les 9 et 10 décembre 2021. Pas par choix, vous vous en doutez bien, mais parce que les dirigeants récoltent tout simplement ce qu’ils sèment chaque jour dans la désespérante vie de leurs concitoyens et administrés

Société Togo

Togo-Dr Christian Spieker : « Djimon Oré, Ferdinand Ayité, Jean-Paul Omoulou et les autres…n´ont pas leur place en prison »

À chaque instant, je ne cesse désormais de me demander, pourquoi le Togo mérite-t-il ce sort depuis que ce pays est créé ? Ça va de brutalité en brutalité, de brimade en brimade, de division en division et de désespoir en désespoir. Même si le peuple est dépassé et ne dit plus rien, en laissant ses droits les plus élémentaires piétiner par ceux qui le dirigent sans aucun sentiment d´humanité, cela peut-il être une raison pour eux d´agir ainsi envers leurs propres frères et sœurs?