Abordant la situation socio-politique du Togo sur radio Victoire Fm, le secrétaire générale du Comité d'action pour le Renouveau (CAR), Jean Kissi a dénoncé un complot en cours contre le peuple togolais. Le conseiller municipal lors de son intervention, a indiqué que la conspiration dont il fait mention, a débuté au sein de la Concertation nationale entre acteurs politiques (CNAP) et se poursuit au niveau du Cadre permanent et de suivi (CPC). A l'en croire, ces institutions sont détournées de leurs objectifs.
Le Cadre permanent de dialogue et de concertation (CPC) initié par Payadowa Boukpessi prend des coups de toutes parts. Jamais une initiative de dialogue n’a été autant décriée. Les dialogues, notre pays en a organisé à foison. Depuis le début du processus démocratique au Togo, pas moins de trente (30) dialogues ont été initiés en 32 ans. Un record. Malheureusement, la situation politique n’a jamais évolué dans le sens de la raison.
Au Togo, quand on parle de dialogue c’est un perpétuel recommencement. Depuis le 05 octobre 1990 à nos jours, nous avons connu des dizaines de dialogues. Tous voués à l’échec à cause du manque de volonté des acteurs politiques et en particulier du pouvoir en place Le dialogue, on en parle à l’approche de chaque échéance électorale.
Les Forces Démocratiques pour la République (FDR), tout comme le Comité d'action pour le Renouveau (CAR) ou encore la Dynamique Monseigneur Kpodzro (DMK), étaient absentes à la réunion convoquée mardi au sein de Cadre Permanent de Concertation (CPC). Dans un communiqué en date du 15 mars 2022, le parti de Me Dodji Apevon a justifié cette absence par diverses raisons notamment la non application des recommandations de la CNAP en ce qui concerne la mise en liberté des prisonniers politiques, la mise à l’écart de la Société civile et l’intégration d’une composante dénommée « Députés Indépendants » et bien d'autres.
Le leader du Parti du renouveau et de la rédemption (PRR), n'est pas du tout d'accord avec ce qui actuellement au sein du Cadre permanent de concertation (CPC).
Le président du Nouvel engagement togolais (NET) a été élu ce mardi 15 mars président du Cadre permanent de concertation (CPC) au cours de la deuxième réunion de cette instance politique.
La deuxième réunion du Cadre permanent de concertation (CPC) s’est déroulée ce mardi 15 mars à Lomé. Et l’une des surprises du jour est le retour de l’Alliance nationale pour le changement (ANC) à la table des discussions.
Ce mardi 15 mars 2022 a lieu à Lomé la deuxième réunion du Cadre Permanent de Concertation (CPC) initié par le régime de Faure Gnassingbé. Mais le Comité d’action pour le renouveau (CAR) ne participe pas aux travaux.
Régler la grave crise postélectorale née de l’élection présidentielle du 22 février 2020, le retour effectif et sécurisé des exilés politique, la libération des détenus politiques. Ce sont là quelques unes des conditions posées par la Dynamique Monseigneur Kpodzro (DMK) afin de se tailler une place au sein du Cadre Permanent de Concertation. Ces préoccupations n'étant pas pris en compte, l'organisation décline encore une fois, l'invitation du gouvernement togolais à une réunion au CPC. Dans un communiqué rendu public ce 14 mars 2022, l'entité s'étonne de l'insistance du pouvoir à la voir participer aux discussions.
Les travaux du Cadre permanent de concertation (CPC) entre acteurs politiques ont démarré ce vendredi 21 janvier à Lomé. Le parti Union des forces de changement (UFC) y est représenté par le député Séna Alipui. Celui-ci, à l’issue de la première rencontre, est revenu sur l’importance du dialogue.