L’Alliance nationale pour le changement (ANC) réclame la publication du chronogramme. Une demande qu’elle adresse à la Commission électorale nationale indépendante (CENI).
Dans une lettre, en réponse à un article intitulé « Jean-Pierre FABRE, la plaie incurable de l’opposition togolaise », publié récemment sur les réseaux sociaux, portant signature de Mgr Kpodzro, Jean-Pierre Fabre n'y est pas allé de main morte. L'ex-chef de file de l'opposition crache ses quatre vérités à la figure du prélat nonagénaire, et lui demande de « foutre la paix » à l'ANC (l'Alliance Nationale pour le Changement). Lisez!
"Ce que Jean-Pierre ne comprends pas est que le peuple a compris que la politique de vociférations ne fait plus recettes. Nous voulons tous l'alternance politique, mais le peuple veut des politiciens qui ne se contentent pas d'exister à coup de communiqués de presse et de vociférations. Le peuple veut des leaders qui font leur preuve avec le peu qu'ils ont"
Le weekend dernier, au cours d'un meeting à Lomé, le président de l'Alliance Nationale pour le Changement (ANC) déclarait devant ses militants qu'il a récemment reçu une délégation de la DMP. Et que cette dernière était venue lui proposer une unicité d’action de l’opposition pour les prochaines élections au Togo.
Le Président de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) s’est exprimé une fois de plus sur le recensement électoral dont il réclame tout comme d’autres leaders de l’opposition, une reprise des opérations dans la zone 1 notamment. Au micro du confrère Peter Dogbé, correspondant RFI, il révèle qu’il « y a une volonté d’organiser un recensement frauduleux ».
« C’est pour nous tous que nous œuvrons donc je ne peux pas dire que nous voulons faire un petit score mais nous demandons aux Togolais de se mobiliser pour voter pour nous et on verra. »
A l'occasion du 63em anniversaire de l'Indépendance du Togo, le président national de l'ANC, Jean-Pierre Fabre adresse un message au peuple togolais en lutte pour l'alternance politique au sommet de l'Etat. Il les exhorte rester déterminés et à poursuivre le combat pour libérer le Togo de l’imposture et de la dictature. Lecture.
Le Bureau national de l'Alliance Nationale pour le Changement (ANC) réuni en séance ordinaire lundi à Lomé a pris certaines mesures à l'encontre de ses membres indélicats. Il s'agit d’OURO-AKPO Tchagnaou, APEKEY Assehouwokan, MOUMOUNI Mouthawakilou, SEDO Komla Mathias. Ces derniers ont été définitivement exclus du parti pour « acte de trahison et faute lourde » et considérés de facto comme « des adversaires politiques ». Lisez plutôt la décision du Bureau national de l'ANC !
Dans une note adressée aux préfets et maires le 10 mars dernier, le ministre d'Etat Payadowa Boukpessi invitait ces derniers à la « première édition des rencontres gouvernement et collectivités territoriales les 13, 14 et 15 avril 2023 ». Même si ces rencontres ont été reportées sine die, à la mairie du Golfe 4, l'on trouve inopportune cette initiative du gouvernement.