La même histoire révèle également que certaines révolutions (de palais), loin d’apporter une solution durable et véritable, en permettant une alternance politique, étaient de simples artifices des initiateurs pour assouvir leurs propres fantasmes et les ambitions personnelles.
«Voilà un parti qui ne représente même pas 10% de l’électorat et qui curieusement bombe le torse d’être le plus « grand parti » au Togo. Si ce n’est pas les fraudes et les braquages électoraux, si ce n’est pas les tripatouillages, les violences policières, les emprisonnements, les rapts, les assassinats, il y a longtemps que ce parti aurait disparu du champ politique au Togo.»