Le ministre des Enseignements primaire, secondaire, technique et de l’Artisanat a décidé de la fin des cours de répétition dans les établissements scolaires. Une décision qui n’est pas du goût de l’Association des victimes de torture au Togo (ASVITTO). Lire la déclaration
Observations relatives à l’interdiction des cours de répétition payants dans les établissements scolaires.
L’ASVITTO vient attirer l’attention du gouvernement sur une décision impopulaire qui conforte le manque de vision pour une éducation de qualité aux enfants.
Dans une note de service portant la référence N°021/2021/MEPSTA/CAB/SG) en date du 1er mars 2021, le Ministre des Enseignements primaire, secondaire, technique et de l’Artisanat a interdit les cours de répétition dans les établissements scolaires publics et privés avec pour motif de corriger la <<rupture d’égalité devant les charges pédagogiques>>.
En considérant le mobile de cette décision, l’ASVITTO salue l’esprit d’œuvrer à l’égalité des chances chez les apprenants. Cependant, la décision d’interdire les cours de répétition ne corrige pas cette inégalité parce qu’elle encourage au contraire la baisse de niveau constatée dans la prestation des élèves. Ceci, ajouté au retard occasionné par la période de confinement lié au covid-19 devrait amener les principaux acteurs de l’éducation à une réflexion orientée sur une vision et une dynamique de rattrapage avec pour souci de relever le niveau des apprenants. Par conséquent, les cours de répétition doivent être plutôt encouragés et la recherche de l’égalité des chances aurait pu consister à harmoniser ces cours en y apportant une subvention en vue de les rendre accessibles aux plus démunis. Le gouvernement peut se donner les moyens pour l’aboutissement de ce programme et cela pourrait contribuer à corriger un tant soit peu les inégalités. Autrement, la décision de les interdire ne corrige nullement les inégalités mais va contribuer à les accentuer plus subtilement. Aussi, les cours de répétition permettent d’occuper les élèves et de les contenir afin de les éloigner des actes immoraux et mondains que véhiculent des esprits mal intentionnés.
Fort de ce constat et soucieuse de l’avenir de l’éducation, l’ASVITTO recommande avec insistance que la décision d’interdiction des cours de répétition dans les établissements scolaires soit annulée et invite le gouvernement à repenser la stratégie d’équité en adéquation avec les vrais défis du secteur.
Elle note avec regret, une décision hâtive aux allures aventurières qui ne tient pas compte des observations d’autres acteurs qui sont autant concernés que les autorités gouvernementales en ce qui concerne la qualité à donner à l’école togolaise.
Fait à Lomé, le 5 mars 2021.
Pour l’ASVITTO
Le Président
M. ATCHOLI KAO Monzolouwè
Toutes les occasions sont bonnes à sauter dessus!!! m
Toutes les occasions sont bonnes à sauter dessus!!! M. KAO qu’est-ce que vous en savez pour qualifier cette décision d’impopulaire? Occupez vous de vos oignons. Savez vous vraiment ça se passe? De grâce, on sait que vous êtes dans vos œuvres, prêt à tout noircir pour dire qu’on est opposant. C’est ça aussi votre devoir? société civile ouais!!! mon oeil
“Aussi, les cours de répétition permettent d’occuper les élèves et de les contenir afin de les éloigner des actes immoraux et mondains que véhiculent des esprits mal intentionnés.”
Pour ça appelle les à dormir plutôt dans les écoles.
Bravooooo Bravooooo les enseignants ne vont plus profiter ces occasions pour enceinter nos soeurs.. Bravoooo le Togo avance.
ASVITO degage rapidement. Les enfants doivent se reposer les weekend…..
WOW seigneur. Merci Monsieur le Ministre.
C’est l’Asvitto qui verse dans le populisme. Dans une société juste, comment pouvons-nous accepter que les enfants de riches soient privilégiés. Les enseignants doivent enseigner tous les élèves, conformément aux programmes et modalités pédagogiques. Faire du spécial à quelques enfants, pour s’enrichir, est “immoral”.
Le ministre doit savoir que c’est lui et son cousin Kpodar que leur oncle ahadzi nonnon a aidé à rompre l’égalité sociale en trafiquant des bourses pour aller s’amuser à Poitiers et les évaluer lui-même sur des thèses qu’il leur a rédigées. Resultat ils ont organisé les plus grandes fraudes et magouilles que le Cames n’a jamais connues couvrant le monde universitaire togolais de honte. Mais comme le régime qu’ils servent fonctionnent ainsi ces 2 brigands à col blanc parlent de talent.