Il est désormais proscrit la diffusion « de la publicité des tradithérapeutes, des produits de la médecine traditionnelle et des médicaments » sur les radios et télévisions.
La Haute autorité de l’audiovisuel et de la communauté (HAAC) intime l’ordre aux radios et télévisions de la place de passer « de la publicité des tradithérapeutes, des produits de la médecine traditionnelle et des médicaments », avertit un communiqué du régulateur.
Les agences de communications et de publicité sont aussi rappelées à l’ordre. Elle doivent dorénavant faire valider les contenus des publicités par l’autorité de régulation, avant leur diffusion.
La même note publique précise qu’« en conséquence, sous peine de sanctions conformément aux textes en vigueur sur la presse, les agences de communication, de publicité, les sociétés de presse audiovisuelle, de presse écrite et en ligne ne doivent pas faire diffuser ou publier des spots publicitaires et des affiches publicitaires sans le visa de contrôle du contenue de la HAAC », avant de mentionner aux radios, télévisions, régies publicitaires, journaux classiques ou nouveaux médias que « des annonces publicitaires non visées » par le régulateur seront punies par la loi.
Tout va bien alors, la HAAC travaille !
Pendant ce temps, des publicités sur les produits alcooliques, les produits cosmétiques éclaircissants envahissent nos écrans et nos rues. La diffusion de morceaux musicaux à consonnance érotique progresse. Et les programmes des bouquets satellitaires promouvant la théorie du genre/l’homosexualité sont de plus présents dans le pays, y compris dans les dessins animés pour enfants et les films d’animations…
C’est certain, la HAAC travaille !
Nuɔlagã,
Chef de file de l’opposition dans les bars
Lire plutôt Nunɔlagã
quand tu parles de ” chef de file de l’opposition dans les bars ” , tu fais allusion à qui?
ll faut avoir le courage de nommer le(s) concerné(s).
Merci