Dans le cadre de la poursuite du dialogue avec la CEDEAO, I’Union Africaine et la Communauté internationale concernant la conduite de la Transition au Mali, le Gouvernement du pays a mis en place un « mécanisme de Concertation » dont le Togo est membre.
Ce mécanisme a pour but de rechercher une solution conciliant les aspirations du Peuple malien et les demandes de la Communauté internationale, notamment à travers l’adoption d’un chronogramme consensuel.
Le Mécanisme est structuré en deux groupes comme suit :
Un Groupe de Dialogue au niveau ministériel qui a pour mission de faciliter le dialogue entre les parties prenantes et d’œuvrer à recherche de compromis sur les questions en suspens. Ce groupe qui sera coordonné par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale du Mali, est composé de six pays et trois grandes institutions, à savoir, le Ghana, la Mauritanie, le Nigeria, le Sénégal, la Sierra Léone, le Togo, la CEDEAO, l’Union Africaine et les Nations Unies.
Le second groupe qui sera coordonné par le ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, en collaboration avec le ministre de la Refondation de l’État, est le « Groupe de Travail Elargi ».
Il a pour mission de faire l’évaluation technique du projet de chronogramme de la Transition présenté à la CEDEAO. Ce bloc est composé des représentants du Gouvernement du Mali et des membres du Comité local du suivi de la Transition (la CEDEAO, l’Union Africaine, les Nations Unies, le Ghana et le Nigeria), « assistés de personnes ressources et d’experts compétents ».
Tout en précisant que la réunion inaugurale du Groupe de Travail Elargi a eu lieu le mardi 08 février 2022, les autorités maliennes indiquent qu’à travers cette initiative, elles renouvellent leur « engagement pour le retour à un ordre constitutionnel normal » et leur disponibilité constante au dialogue et au consensus pour la réussite de la Transition.
Le Mali est un pays africain de la sous-région ouest africaine. Il est de bon ton que dans cette crise suite au coup d’état perpétré par la junte qui a mis en place un comité pour diriger le pays chapeauté par le Colonel Assimi Goita, le pouvoir en place à Bamako puisse rapidement trouver un compromis avec la communauté entre autres la CEDEAO et l’UEMOA; afin que les sanctions puissent être levées et que cette communauté puisse sincèrement oeuvrer à aider la Mali à éradiquer cette horde de djihadistes qui sèment la désolation et la mort dans ses villes et contrées. Avec le constat qui est fait sur le terrain, la France doit rester en retrait et apporter ses aides sous d’autres forme entre autres en logistique et laisser les maliens et les autres partenaires faire le travail.
Mais ce Pays a un mauvais premier ministre dont on ne sait s’il sait ce qu’on appelle le langage diplomatic.
Il est null. Dailleurs ils ont insulté la CEDEAO et on n’avait l’air de croire que ce Mali s’en passerait de la CEDEAO pour reussir leur soit disant transition. Et on savait que cette jointe craquerait un moment donné et cela se fait dèjà dailleurs ressentir. Les salaires des mois prochains, Mars, Avril, Mai s’annonce dèjà problematique et les remous au sein de la population se fait au jour le jour sentir.
Les maliens de France ne peuvent plus rentrer chez eux, les maliens au mali ne peuvent non plus aller en France, faute de visa et d’avion de correspondance.
Alors qui trompe qui? qui va souffrir plus dans cette affaire? la France ou le Mali???
Cette jointe n’a qu’a laisser le pouvoir aux civils qui ont dailleurs chasser IBK. ce sont des illétrés qui croitent qu’ils peuvent chager le Mali.