« Aujourd’hui aussi, c’est un autre jour ! », cette formule consacrée des réseaux sociaux convient parfaitement pour décrire cette scène effroyable.
Les faits se déroulent le dimanche 10 Juillet 2022 à l’Hôpitalpour femmes Vilar dos Teles, São João Meriti à Rio de Janeiro (Brésil). Giovanni Quintella Bezerra, médecin anesthésiste, a été surpris en train d’introduire à plusieurs reprises son pénis dans la bouche d’une patiente sous sédatif alors même que cette dernière subissait une césarienne.
Plus incroyable, le jeune docteur de 32 ans cachait bien son jeu à ses autres collègues présents dans la salle et qui s’activaient à réussir cette opération chirurgicale.
Les infirmières de l’hôpital avaient au préalable remarqué qu’en général les patientes étaient trop endormies et éprouvaient des difficultés à tenir leurs bébés dans les bras après les césariennes sur lesquelles intervient M. Giovanni Bezerra. Soupçonnant un excès de sédatif de la part de l’anesthésiste, elles ont décidé d’installer une caméra cachée pour en savoir la cause. C’est ainsi qu’avec l’aide d’un téléphone portable, elles ont réussi à saisir ce moment incroyable : la patiente est allongée sur la civière, inconsciente, sur le point d’accoucher. Sur le côté gauche de l’écran, l’équipe chirurgicale de l’hôpital commence la césarienne. Pendant ce temps, sur le côté droit, à un mètre de ses compagnons et avec un drap entre les deux, Bezerra baisse la braguette de son pantalon, sort son machin et l’insère dans la bouche de la femme enceinte ; L’infraction dure environ 10 minutes.
Tout en maltraitant la victime, l’anesthésiste se déplace pour que personne dans la pièce ne le remarque. Quand ça se termine, prenez un mouchoir et nettoyez la victime pour cacher les traces.
Le personnel de l’hôpital a rapporté à la police saisie de l’affaire que le médecin aurait effectué la même chose sur deux autres patientes le même jour sans qu’il ait réussi à filmer correctement. Le médecin fait face actuellement à des accusations de viol et encourt une peine d’emprisonnement allant de 8 à 15 ans au Brésil. L’homme séjourne à la prison publique José Frederico Marques à Benfica. Il faut bien croire que les noms ont des impacts sur la personnalité de ceux ou celles qui les portent. M. Bezerra conjugue souvent son nom au présent de l’indicatif.
Barth K.