Devant la dépouille mortelle du feu Patrick Lawson samedi dernier à la Cathédrale du Sacré-Cœur de Lomé, le ministre Gilbert Bawara a prononcé un éloge funèbre qui fait la polémique sur la toile.
Rendant un dernier hommage au feu Patrick Lawson, co-fondateur du parti de l’opposition l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC), le ministre Bawara n’a pas manqué de revenir sur sa proximité et sa relation d’amitié avec l’illustre disparu.
« Même dans les chamailleries, les bouderies et les fâcheries, on avait du mal à s’en éloigner. (…) Les relations cordiales et confiantes entre Patrick et moi, ne doivent rien au hasard. Je savais l’estime que lui vouait le Président Faure », a témoigné le ministre en charge de la Fonction publique.
A l’en croire, lorsque le chef de l’Etat a appris les nouvelles sur l’état de santé très préoccupant de Patrick Lawson, il a vite dépêché au chevet du malade son médecin personnel, puis fait prendre des dispositions diligentes pour son évacuation, et sa prise en charge convenable hors du pays.
« Peut-être que le Président Faure m’en voudra ; et sans doute que son humilité et son tempérament porté à la discrétion en souffriront. Mais comment ne pas rappeler ici la réaction spontanée, et immédiate qui fut la sienne, lorsqu’il fut porté à son attention l’état de santé très préoccupant de Patrick, et qu’il décida de dépêcher au chevet du malade son médecin personnel, puis fit prendre des dispositions diligentes pour son évacuation, et sa prise en charge convenable hors du pays », a fait savoir le ministre Bawara.
Et c’est justement cette partie du discours qui alimente un flot de commentaires sur la toile. Certains y voient une preuve accablante attestant un copinage entre l’ANC et le régime RPT-UNIR. Pour d’autres, il s’agit tout simplement d’un discours bien préparé, sorti tout droit du laboratoire bleu RPT-UNIR dont le but est de créer la diversion et renforcer davantage « psychologie anti-parti politique, anti-leader, anti-opposition ».
Bawara le super menteur a parlé. Rien qu’une litanie de contre-vérités.
L’opportuniste Gilbert Bawara fera le même discours quand viendra le temps des obsèques de son frère et cousin Toussaint Madoulba.
Ainsi va notre Faure-Kopé.
Qu’en sais-tu, chez vous il semble que la politique c’est l’injure permanent et aucun respect pour l’adversaire. Des Bawara pourraient instruire des forts en gueule comme toi sur la politique et ses subtilités.
Vous avez beaucoup à apprendre dans ce pays que vous prétendez le votre et que vous voulez sauver. Il y a du boulot !
Qui t’a sonné?
En prenant du recul il y’a beaucoup de non-dits dans ce discours venant d’une ministre d’une république: “prise en charge”, “exterieur du pays”, “évacuation”. Si l’on pourrait se demander ce qu’il en est advenu, on peut retenir et ce a bon essient que nous en avons encore du chemin a faire, pauvre nous
C’est l’argent du Togo et non celui de GNASSINGBE qui fut utilisé.
Ah quand même ! On pensait qu’il ne se passait rien de bon dans ce pays et qu’il faut faire la guerre. Nuzizi!
AU lieu de parler de témoignage de ce que la personne à fait un bien…., il parle de ce que son chef a fait juste pour son éloge.
L’hôpital Saint Pérégrin n’est-il pas encore terminé ?
Ce Bawara est un faux-type, un hypocrite dangereux imbu de sa personne.
Ce n’est même plus la vache qui rit mais le diable qui rit.
Où se trouve la polémique dans les déclarations lors de l’oraison funèbre du premier vice-président de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) ? Bon nombre de personne reconnaissent le défunt pour ses qualités de fin diplomate et sur la scène politique togolaise nul n’ignore qu’il y a eu un grand nombre de discussion entre la majorité au pouvoir et l’opposition togolaise, où l’ANC occupe une place de choix. Aussi, les gens doivent comprendre que la politique est un jeu, et les membres de la majorité présidentielle et les opposants ne sont nullement des ennemis? Mais des adversaires politiques qui œuvrent d’une manière ou autre au développement du pays. De plus ce n’est pas la première fois que le chef de l’Etat SEM Faure Essozimna Gnassingbé vient à la rescousse à un opposant en détresse. Le cas de président du PRR Nicolas Lawson est un exemple parmi tant d’autres.
Après cet aveu de copinage anc-rpt, jp fabre doit demander pardon à Jean paul omoulou et à kpodzro. Omoulou doit etre purement et simplement libéré. Tout ce qu’il disait est donc vrai. Kpodzro doir pouvoir rentrer au bercail. Il n’a fait que dire la vérité .