Togo- Agression au siège de la CDPA: l’ANC s’indigne et condamne la “terreur” érigée en mode de gouvernance par le régime RPT-UNIR
Le pouvoir RPT/UNIR ne cesse de ternir l’image de notre pays, de ridiculiser et d’humilier le Togo et le peuple…
Le pouvoir RPT/UNIR ne cesse de ternir l’image de notre pays, de ridiculiser et d’humilier le Togo et le peuple…
Invité ce week-end dans l’émission « Retro7 » sur Victoire FM, Jean-Pierre Fabre, leader de l’Alliance Nationale pour le Changement…
DÉCISION PORTANT EXCLUSION DÉFINITIVE LE BUREAU NATIONAL DE L’ANC : Réuni le jeudi 29 août 2024, en séance ordinaire, pour…
Dans une déclaration, l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) revient sur les nombreuses irrégularités qui ont entaché les dernières élections…
Dans un communiqué, l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) interpelle le régime RPT/UNIR afin qu’il mette fin aux pratiques d’intimidation…
Refuser de siéger à la nouvelle Assemblée nationale, n’est-ce pas trahir la confiance des Togolais qui ont voté pour vous lors des dernières législatives du 29 avril 2024 ? C’est la question qui été posée aux leaders de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) lors de la conférence de presse tenue hier, vendredi, au siège du parti à Lomé.
Dans ce mémorandum rendu public vendredi, l’Alliance nationale pour le changement (ANC) donne les raisons qui motivent son refus de…
Devant la presse ce vendredi à Lomé, les responsables de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) ont réitéré leur position de ne pas siéger à la nouvelle Assemblée nationale. Dans leur déclaration liminaire, ils précisent qu’ils n’entendent ménager aucun effort pour combattre la double imposture de la mascarade électorale du 29 avril 2024 et de la Constitution. Lecture.
L’Alliance nationale pour le changement (ANC) était absente lors de la session de plein droit qui s’est tenue hier, mardi, à l’hémicycle. Le parti de Jean-Pierre Fabre a décidé de ne pas siéger dans cette assemblée monocolore.
Depuis la proclamation des résultats à la soviétique des élections législatives du 29 avril dernier, où le parti présidentiel Unir a raflé 108 des 113 sièges, une seule question taraude plus d’un : l’opposition, qui n’a obtenu que les 5 sièges restants, pourra-t-elle siéger dans cette nouvelle assemblée ?