Le Mouvement Martin Luther King (MMLK) a saisi le ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et du Développement des territoires, Payadowa Boukpessi, afin d’obtenir un moratoire de trois mois en faveur des occupants de l’emprise des voix publiques.
Le 15 février 2023. C’est la date fixée par le gouvernement aux commerçants occupant l’emprise des voix publiques pour se reloger ailleurs.
Face à l’intransigeance du ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et du Développement des territoires, Payadowa Boukpessi, d’aller au-delà du délai fixé le Mouvement Martin Luther King (MMLK) plaide pour un délai « supplémentaire » de trois mois afin ces « concitoyens qui sont dans cette situation d’illégalité bien entendu, de répondre convenablement aux exigences », indique le MMLK dans une lettre adressée au ministre Payadowa Boukpessi.
Pour le MMLK, il ne s’agit pas de prendre la défense de ces citoyens, « mais il s’agit d’une demande humanitaire », souligne la lettre signée Pasteur Edoh Kossi Komi.
A noter que Pasteur Edoh Kossi Komi est également adjoint au maire de la commune Golfe 2.
Et pourquoi ?C est toujours vous les noirs Vous aimez trop de favoritismes raison pour laquelle nous sommes aussi les derniers dans tout.La date du 15 s ils ne quittent pas les trottoirs on va les faire quitter ,il n y’a pas 36 solution