Depuis quelques jours, une affiche très suggestive circulait sur les réseaux sociaux annonçant une soirée dénommée « SPECIALE PARTOUZE PARTY » sur le 09 Juin 2023 dans une villa sise à Agoè dans la banlieue de Lomé. Les organisateurs de ladite soirée sont désormais entre les mailles de la Police Nationale et vont devoir répondre de ces faits incriminés par la loi pénale togolaise.
L’annonce a été faite ce mardi par la Police Nationale sur son compte Facebook. L’onde de choc provoquée par la publication d’une telle affiche invitant à une soirée durant laquelle plusieurs hommes et femmes sont censés avoir des rapports sexuels entre eux, a amené les services de la Police Nationale à investiguer.
Aux termes de son enquête, elle a réussi à mettre la main ce 08 Juin 2023 (soit la veille de la soirée partouze) sur les organisateurs dont les identités sont publiées sur la page de l’institution :
- Maruis Q., jeune homme âgé de 24 ans
- Odile B., jeune fille âgée de 23 ans
- Ryina j., jeune fille âgée de 18 ans.
La police précise que ces jeunes togolais appartiennent à un réseau de proxénétisme, notamment le nommé Marius qui dispose d’un « répertoire assez fourni de jeunes filles travailleuses de sexe ». Celles-ci sont « mises à la disposition des hommes qui louent leurs services contre une certaine somme sur laquelle le nommé Marius perçoit 20% ».
Il faut espérer que cette interpellation aura un effet dissuasif sur ce phénomène de libertinage sexuel qui prend de l’ampleur à Lomé et d’autres villes bien connues des amateurs. Il suffit de voir la tranche d’âge de ces individus arrêtés pour se rendre compte du danger que court notre société.
Ces individus appréhendés ne sont que les “petits poissons”!
Qui ne sait que les gros bonnets du régime togolais sont accrocs à la débauche depuis le temps de Gnassingbé-père?
Depuis l’instauration de la pratique de l’ “animation politique” au Togo dès les années 1974/1975, la débauche et la prostitution sont devenues un des terreaux fertiles du violent régime des Gnassingbé!
Et elles vont de pair avec le “pouvoir de l’argent” et la corruption …
Ce n’est pas Madame Dagadzi (mère de Mey Gnassingbé!) qui nous dira le contraire!
Ce n’est pas Madame Sabine Mensah (mère de Faure Gnassingbé!) qui nous dira le contraire!
La liste est assez longue …
Et puis, j’avais voulu approcher la veuve d’Ernest Gnassingbé (Da Magui Gnakade) pour lui faire des avances sérieuses (j’ai un faible pour les femmes bien bâties comme elle), mais j’appris qu’un autre Gnassingbé la gnappe déjà sauvagement et que je risque de me retrouver au gnouf si j’ose lorgner là-bas …
Un adage dit que le poisson commence toujours par pourrir à la tête …
Eh bien! Continuer toujours de pointer les erreurs des autres sur le regime Eyadema que de responsabiliser les personnes en fautes, qui sont apparemment des adultes dans ce cas. Est-ce que le choix de vie d’un adulte nécessairement la responsabilité d’un regime politique? Ou est-ce plutôt une education ratée dès le bas âge ou même encore une mentalité détériorée par la recherche d’argent facile?
Parents, ayez vos yeux sur vos enfants et apprenez leurs les bonnes mœurs de la vie. Même quand on a rien, on se respecte! On ne se livre pas à la vie de débauche.