Le Burkina Faso et le Mali restent solidaires à leur voisin, le Niger sous la menace d’usage de « la force » proférée par les Chefs d’État de la Cédéao.
Une semaine après avoir indiqué que « toute intervention militaire contre le Niger serait considérée comme une déclaration de guerre contre le Burkina Faso et le Mali », les deux pays dirigés par des militaires passent à l’action.
Selon la Direction de l’Information et des Relations publiques des armées (DIRPA), délégation officielle conjointe du Burkina Faso et du Mali est en route (si elle n’est pas encore arrivée) ce lundi pour Niamey.
Conduite par le ministre Colonel Abdoulaye Maïga, l’un des hommes forts du gouvernement de la transition au Mali, la délégation, lit-on, a pour mission de témoigner la solidarité des deux pays au peuple frère du Niger.
Message au petit Macron à ses garçons de courses africains et à la minable CEDEAO: DITES-VOUS QUE PLUS RIEN NE SERA COMME AVANT. Attendez-vous à des tsunamis, des tremblements de terre, etc., de la part des pauvres peuples africains que vous opprimez, volez, violez, pillez, torturez, emprisonnez et tuez. J’espère qu’on vous mettra la main au collet pour vous appliquer avec joie, la loi du talion: ŒIL POUR ŒIL, DENT POUR DENT. Quant à la petite lâche de France, elle connaitra la pire malédiction de tous les temps.