Selon beaucoup d’experts, la France n’est jamais aussi forte à la veille d’une Coupe du monde de rugby qu’elle organise sur sa terre pour la seconde fois de son histoire.
Les Bleus n’ont jamais gagné le mondial de rugby bien qu’ils aient déjà participé à trois finales. La France a raté peu la coche en 2011 face à la Nouvelle-Zélande. Score final 8-7. Un match resté gravé dans les mémoires.
Après 2007, la compétition, organisée tous les quatre ans depuis 1987, élit de nouveau domicile dans l’hexagone, du 8 septembre au 28 octobre 2023. Cette fois-ci sera-t-elle la bonne ? Oui, répondent certains analystes, classant la France dans la catégorie des favoris au même titre que l’Irlande, la Nouvelle-Zélande et l’Afrique du Sud. Les Springboks étant le tenant du titre.
Nouvelle dynamique
La France se trouve aujourd’hui dans une dynamique positive lui permettant de rêver à succéder aux Sud-africains et devenir ainsi la deuxième sélection de l’hémisphère nord à soulever la Coupe du monde de rugby après l’Angleterre en 2003.
Devant leurs supporters, les Bleus ont les moyens d’aller jusqu’au bout, de graver le nom de leur pays dans les annales de rugby. « Je pense qu’on n’a jamais été aussi bien préparés, au vu des quatre ans qu’on a fait, avec 80% de victoires, le Tournoi (de grand chelem) en 2022 , une génération prometteuse, des joueurs talentueux, qui ont acquis de l’expérience, avec une continuité dans l’ossature de l’équipe », Antoine Dupont, le demi de mêlée élu meilleur joueur de l’année 2021.
Pour espérer soulever le trophée mis en jeu, l’équipe ovale tricolore devant passer par plusieurs obstacles. Elle a affronte en ouverture ce vendredi 8 septembre la Nouvelle-Zélande dans un match considéré comme une finale avant l’heure. Et qu’elle a gagné 27-13 avec panache grâce à la botte de Thomas Ramos et à des essais de Damian Penaud et Melvyn Jaminet.
Je m’en bat les couilles !
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