En conférence de presse ce mercredi 8 novembre 2023, l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) a voulu tirer à nouveau la sonnette d’alarme sur les irrégularités dont fait état, l’organisation des élections régionales et législatives prévues cette année (si elles ont lieu) au Togo.
A quelques pas des échéances électorales, le parti dirigé par Jean-Pierre Fabre a attiré l’attention du pouvoir en place, des acteurs politiques et de la société civile concernés ainsi que des populations togolaises sur l’absolue nécessité de revoir les conditions d’organisation des scrutins mentionnés plutôt.
Il s’agit pour l’ANC “de revisiter le découpage électoral en vigueur pour les élections législatives, en vue d’en éliminer, dans l’intérêt de l’équité des élections, les nombreuses disparités criardes et injustes qu’il comporte”.
Cette formation politique de l’opposition exige aussi que les manquements, les insuffisances voire les tares des institutions impliquées dans les processus électoraux et référendaires, notamment la Cour Constitutionnelle, la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC), la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), la Cour Suprême, soient corrigés dans l’intérêt d’élections transparentes et démocratiques. Ceci, en mettant “fin à la violation permanente de la Constitution et des lois, de mettre en œuvre une gouvernance saine et transparente au Togo”.
Dans cette perspective, ” l’ANC réitére son appel à la mobilisation générale autour de la vision des pères de l’indépendance et fondateurs de la nation togolaise pour la reconquête de la dignité, de l’indépendance et de la souveraineté de notre pays, pour la construction d’un Etat de droit respectueux des droits et libertés des citoyens pour un retour aux bonnes pratiques de gouvernance qui garantissent une croissance saine et un développement partagé”.
Dites donc, Ii a pris un violent coup de vieux!
Du courage …. la fin avec le temps et les sacrifices justifient les moyens