Pascaline Bongo, la grande sœur d’Ali Bongo, ex-président du Gabon, accusée de corruption passive, nie l’existence d’une commission occulte. Ce mercredi 31 janvier, elle était face aux juges français.
Au tribunal de Paris, la sœur de l’ancien président gabonais, soupçonnée d’avoir touché 8 millions d’euros pour aider la société française Egis Route afin que celle-ci décroche des marchés publics au Gabaon, a répondu aux questions des juges.
L’ancienne directrice de cabinet de son père Omar Bongo jusqu’à sa mort conteste toutes les accusations portées contre elle.
Ce jeudi 1er février 2023, a lieu le dernier jour d’audience. Place maintenant aux réquisitoires. « Le jugement n’est pas attendu avant plusieurs semaines », croit savoir Rfi.