D’ici 2030, plus de la moitié de la population mondiale vivra dans des pays où l’accès à des données fiables sur la qualité de l’eau est insuffisant, mettant en péril la gestion durable de ces ressources essentielles., selon un rapport de l’ONU Environnement du 27 août 2024.
Les pays les plus pauvres, représentant 3,7 milliards de personnes, fournissent très peu de données sur la qualité de l’eau, ce qui pourrait entraîner des conséquences graves d’après l’organisation.
Le rapport indique également que plus de 60 % des pays étudiés entre 2015 et 2019 avaient au moins un écosystème d’eau douce en déclin, avec des préoccupations persistantes en Afrique et en Asie.
Pour remédier à cette situation, l’ONU recommande de financer des programmes de surveillance, d’impliquer les citoyens dans la collecte de données, et d’utiliser des technologies avancées.