Les conséquences des multiples augmentations des prix des biens de consommation n’épargnent qu’un petit cercle du Togo : la minorité s’accaparant des richesses du pays, comme l’a dit l’autre. Si aucune institution d’Etat n’arrive à les déceler, la flambée générale actuelle est une occasion qui lève le voile sur cette minorité.
Il faut être riche comme Crésus pour que la spéculation générale actuelle sur les biens de consommation ne vous plombe pas le moral. Il n’y a aucun produit qui soit exempté. Les Togolais, en grande partie, marmonnent dans leur coin et ne savent pas à quel saint se vouer. Puisque visiblement, les dirigeants sont incapables d’apporter les mesures appropriées pour amortir le choc.
Toutefois dans cette atmosphère délétère, il y a quelques citoyens qui sont en pleine quiétude. Leur visage n’exprime aucune peur, aucune inquiétude. Mieux ! Ces rares togolais tiennent encore des discours de persuasion, de justification et d’appui aux mesures gouvernementales ou privées entérinant les augmentations diverses.
Il y a un adage qui dit « lorsque le dos vous démange, on ne se gratte pas la poitrine », d’ailleurs c’est quand on a des démangeaisons qu’on se gratte. En toute honnêteté, affirmer clairement que la situation sociale actuelle du Togo est supportable, c’est dire qu’on a soi-même une immense capacité à la surmonter. Par conséquent, seule la « minorité opulente » a la capacité de vivre aisément actuellement au Togo. Non seulement cette minorité dispose d’un bon bouclier social, mais encore ce bouclier est bien doré.
Parmi les sept millions de togolais, il y en a qui détiennent les clés de la décrispation économique et sociale de ce pays. Si ceux-ci disent qu’ils ne savent pas que les Togolais souffrent, c’est qu’ils font partie de la « minorité opulente ». Si ceux-ci se taisent sur la situation sociale exécrable, c’est également parce qu’ils font partie de la « minorité opulente », car « qui ne dit mot, consent ».
Barth K.
Des mesures doivent être prises
La fille de Faure Gnassingbé, Sadia, celle qui a pieds niquelés s’est financée avec un certain Eric Johnson, qui pourtant detestait les Gnassingbé quand on faisait les études à Lomé. A cause de l’argent facile, il prend une femme qui n’est même de son gout. Eric n’aimait pas les grosses femmes et il prend sadia qui dans 5 ans va rivaliser avec la femme de Bodjona en grosseur. L’argent quand tu nous tiens, nos convictions sautent par la fenêtre.
On parle du climat social vous nous sortez vos récits: on en a que cure. Comment savez-vous que votre Eric n’aime pas les femmes grosses et d’ailleurs qui le connait a part vous bien sur votre Eric? J’adore moi toute les femmes et si moi-meme je trouve une fille de president penses-tu que je vais refuser? Et toi meme ? Qui est fou
Aux dernières nouvelles, la tonne de ciment va passer de 81 000 CFA à 95 000 CFA.
Pauvres togolais.
Quand vous voyez le nombre de bouteilles de bière que les jeunes boivent tous les week-ends, on se demande si on ne devait pas plutôt augmenter le prix des boissons pour subventionner les produits vivriers.
Ils ont tous des masters en économie et autres, bien cultivé (mais pas intelligent, car l’intelligence c’est une autre chose.).. Mais complètement cons et lâches. Si moi je suis président ou ministre et que les produits de base de ma population est le maïs et manioc et que quelqu’un qui dans le passé a pillé, volé, torturé, brûlé nos villages, violé femmes et enfants vient me dire de laisser la culture du maïs et du manioc pour le café et cacao et que je dois faire ce qu’il dit, si non….et que je le fasse sans réfléchir,.et bien je suis un lâche , un inconscient, un abrouti, un zouave, un malade mental , un fou, un salaud, un imbécile. Voilà la nature de ces merdes qui nous dirigent.
Whatsapp 98 579 726