Originaires d’Afrique subsaharienne, ces migrants illégaux « sont morts ou portés disparus », dans le naufrage de leurs bateaux « vendredi 7 et samedi 8 avril au large de la Tunisie », à en croire un porte-parole du tribunal de Sfax, relayé par INFO MIGRANTS.
Interdits de service, les deux agents, souligne le journal ghanéen, ont été mis à la disposition du Bureau des normes professionnelles de la police (PPSB) "pour enquête sur leur conduite professionnelle".
Ces personnes ont été tuées par des groupes armés terroristes, qui ont attaqué Kourakou et Tondobi, des localités situées à environ 5 kilomètres de Seytenga, province de Séno, dans la région du Sahel.
La quantité de stupéfiant saisie « appartiendrait à un certain adjudant-che Mohamed Soumah », a indiqué le juge de Paix de Mandiana, relayé par ledjely.com.
Selon l’Agence d’information du Burkina (AIB), les opérations ont eu lieu jeudi et vendredi, pendant que ces terroristes s’apprêtaient à attaquer les populations deux villes susmentionnées.
« (…) sur les 21 personnes renvoyées devant le juge d’instruction, 8 ont été placées sous mandat de dépôt et 2 font l’objet d’une incarcération provisoire ».