Au Togo, les chiffres des grossesses en milieu scolaire sont constamment en hausse depuis quelques années. Parallèlement, les agressions sexuelles dans les écoles se multiplient. Devant ces faits graves qui jettent du discrédit sur la politique de promotion de la femme tambourinée par le gouvernement, la gent féminine au sein de l’exécutif et les femmes leaders d’opinion et autres patronnes d’Ong sont silencieuses.
Dans une de ses chroniques, Bruno Haden, Consultant en surveillance, documentation et rapportage des violations des droits de l’homme, donne son avis sur la liberté d'association au Togo. Lisez plutôt !
Ancien ministre de l’Intérieur dans le gouvernement de Transition de Joseph Kokou Koffigoh, Kokouvi Masseme vit en exil depuis 1991. En marge de la conférence de presse organisée par la collectivité Massémé le 27 novembre dernier sur le litige foncier à Akato Avoemé Massemekope, il a bien accepté parler de sa situation personnelle, de ses tribulations…Exil, tractations vaines de retour au pays, regrets sur la politique togolaise, décès et exil des jeunes togolais à cause de la lutte démocratique, envies de revenir au bercail, chagrins liés au litige foncier, état de non-voyant, reconversion en agriculture…Il a tout dit. Ci-dessous ses propos.
Depuis son premier roman « Femme infidèle », publié en 1988, l’écrivain franco-togolais Sami Tchak a, en trois décennies, construit une œuvre riche et exigeante composée d’une vingtaine de romans et d’essais qui font voyager le lecteur entre le Togo, l’Afrique, la France, et l’Amérique latine. Une œuvre dont les thèmes les plus récurrents sont : l’immigration, la sexualité, la violence, le racisme, le pouvoir, la vieillesse…
Le gouvernement n’a pas annulé sa décision « inique ». A compter du 10 décembre prochain, l’accès aux lieux de culte au Togo sera subordonné à la présentation d’un pass vaccinal ou d’un test PCR négatif datant de moins de trois jours.
Depuis quelques semaines, une épreuve de force a pris corps entre l’Union Syndicale des Magistrats du Togo (UYMAT), l’Association Nationale des Magistrats (ANM) et le ministre de la justice à propos de deux circulaires adressées par ce dernier aux détenteurs du pouvoir judiciaire de notre pays. L’une adressée aux magistrats du siège, c’est-à-dire les présidents des cours d’appel et présidents des tribunaux de première instance et l’autre aux magistrats du ministère public, à savoir les procureurs généraux près les cours d’appel et les procureurs de la République près les tribunaux de première instance.
La Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) met « le Tout Puissant » au cœur de sa lutte politique au Togo. Pour obtenir la libération des prisonniers politiques du pays, notamment celle de Jean-Paul Oumolou, elle invite les Togolais à la prière.
Il y a seize (16) ans, à son arrivée au pouvoir, au lendemain du hold up électoral de 2005, Faure Gnassingbé a fait un serment. Celui de faire autrement que son défunt père qui, après trente et huit (38) ans de règne, laisse un Togo complément exsangue. Mais à l’arrivée, ce rêve de l’ «Esprit nouveau» pue l’illusion.
Au Togo, la justice, dernier recours des citoyens, n’en est pas un. Plutôt que d’agir et donner force à la loi, la justice togolaise, par ses hommes indélicats, se saborde, au profit des plus offrants pécuniairement ou politiquement. Un phénomène à la peau dure qui, malgré les menaces de leurs supérieurs hiérarchiques, traverse toujours le temps et l’espace.
« C'est avec tristesse, colère et indignation que, dans la matinée de ce mardi 23 novembre 2021, le Comité pour la libération de tous les prisonniers politiques du Togo a appris le décès du prisonnier politique KELIBA Amadou Kassimou, détenu au Cabanon du CHU-Tokoin où il est hospitalisé depuis le 3 octobre dernier ».