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Des témoignages de la famille de la victime, le couple qui a eu trois enfants a divorcé il y a plusieurs années déjà. « L’homme a même repris sa dot », a déclaré le grand-père de la victime âgée d’une trentaine d’années. On ignore les raisons de cet assassinat.
Le guide religieux s’est servi d’une échelle laissée par les maçons qui effectuaient des travaux de réfection dans le sanctuaire. C’est alors qu’il s’est pendu au minaret à l’aide du turban avec lequel il se couvrait la tête.
Le bâtiment s’est effondré sur plusieurs maisons contiguës faisant plusieurs victimes.
Père d’une famille de quatre enfants, le sexagénaire a été retrouvé mort pendu à un arbre. La découverte macabre a eu lieu le 25 février dernier.
Selon le journal en ligne tchadien Alwihda Info, l’information a été rapportée par le journal camerounais L’Œil du Sahel.
Selon sa sœur, son frère, après avoir commis l’irréparable, a « sauté depuis la terrasse pour se retrouver avec une chute mortelle au sol devant le portail de leur domicile », lit-on. La famille habite un appartement à deux étages.
Les assaillants se trouvaient à bord d’un pick-up. C’est alors qu’ils ont tué les deux policiers « au niveau du quartier Attbougou à Tombouctou », lit-on.
Le feu d’origine inconnue a consumé plusieurs voitures exposées dans le parc de la SLTT. La même source parle également de dégâts matériels importants. Aucune perte en vies humaines n’a été rapportée.
Qualifiée d’une forte intensité, l’explosion, renseigne l’AIB, « aurait propulsé des corps à l’extérieur et était accompagné de flammes ». Le feu s’est propagé touchant « d’autres produits inflammables dans le marché », d’après toujours la même source.
Le voisinage n’a pas apprécié voir l’homme traiter sa femme de la sorte. Selon les sources de 24 Heures au Bénin, l’homme aurait été battu jusqu’à l’évanouissement.
La frappe, a indiqué le gouverneur de la région, a tué sept (07) enfants et blessé cinq (05) autres dans le village de Nachadé, près de la frontière avec le Nigéria.
Il a quitté Banfora ce samedi matin avec des passagers à bord. Ils se rendaient à Bobo-Dioulasso.
On déplore également deux personnes blessées également. Ces derniers ont été évacués à l’hôpital pour des soins.
Interpellés par l’Office Central de Répression de la Cybercriminalité (OCRC) pour escroquerie en ligne, huit (8) individus sont actuellement placés sous mandat de dépôt au Bénin.
Des sources de l’Agence d’information du Burkina (AIB), ces hommes armés étaient d’abord arrivés en grand nombre au marché de la localité. Après avoir fait des prêches, ils s’en sont pris aux bâtiments de l’administration qu’ils ont brûlés.
Ces terroristes, au nombre de huit étaient arrivés à moto. Ainsi, ils ont incendié l’école de la localité avant de repartir. L’AIB n’a rapporté aucune perte en vies humaines.
L’artiste, souligne le journal en ligne béninois, est très connu au Bénin. Elle véhicule un message de paix et d’amour à travers ses chansons.
Selon les informations, ce drame qui s’est produit dans la nuit du vendredi 11 au samedi 12 février porte à trois les positions de police incendiées par des inconnus.
Selon les sources du journal en ligne béninois, plusieurs ouvriers blessés ont été emmenés à l’hôpital, d’autres encore auraient été restés coincés sous les décombres. Aucune perte en vies humaines n’a été signalée.
« Il s’agit en effet d’un âne visiblement enragé qui mord un vieil homme à sa cheville alors que la victime prenait une pause sous un arbre du village », a écrit sur sa page Facebook le quotidien béninois.
Ce cultivateur de 30 ans ayant appris l’avis de perte s’est rendu chez le chef du village « à qui il retourne les sous. Ce dernier fait appel aux propriétaires qui étaient des étrangers venus dans la localité pour l’achat des sacs de soja », a rapporté ce jour le journal en ligne béninois.
Nous les Africains, nous sommes un peuple à part. On a vu même des chefs d’Etat pleurer Je suis Charlie, je suis Charlie.
On parle également d’un véhicule d’un prêtre formateur emporté et un autre endommagé. Aucune perte en humaine n’a été enregistrée.
Ce jour-là, son employeur ne l’ayant pas vu à son poste a dû alerter la police qui, accompagnée des sapeurs-pompiers, s’est rendue à son domicile. C’est alors qu’ils ont trouvé le corps sans vie poignardé à plusieurs reprises et baignant dans le sang.
Selon le journal en ligne sénégalais, le téléphone portable du joueur a été retrouvé hier mercredi à Colobane par la Section de recherches, alors qu’il a été mis en vente.
La commune de Bassila (Bénin) a enregistré dans la journée du mardi 08 février 2022 un conflit entre bouviers et agriculteurs. Une situation qui a plongé les populations de cette localité du pays dans une panique totale.
L’information a été révélée par African Parks. Six (06) personnes dont un militaire et cinq (05) rangers ont trouvé la mort dans une attaque perpétrée dans le parc W par des hommes armés.
Au Togo, la gente féminine du secteur de la santé est victime des cas de viol. Des infirmières en passant les sages-femmes jusqu’aux étudiantes en médecine, le mal suscite l’indignation auprès du Secrétaire général du Syndicat National des Praticiens Hospitaliers du Togo (SYNPHOT).
Triste sort pour un autre présumé malfrat, aussi victime de la vindicte populaire à Lomé. Un phénomène, nourrit davantage par des citoyens qui s’érigent en auto-justicier.
Mercredi dernier, l’Office Central de Répression du Trafic Illicite des Drogues et du Blanchiment (OCRTIDB) a épinglé, trois individus impliqués dans le trafic des liqueurs frelatés à Lomé.
Selon un bilan provisoire, 05 personnes sont décédées sur le champ, plusieurs blessés graves ont été transférés « au Centre de santé et de promotion sociale (CSPS) de Pissila et au Centre hospitalier régional (CHR) de Kaya », renseigne l’AIB.
La dépouille de S. D. a été conduit vers un autre endroit où il a été enterré finalement.
La jeune fille, selon le journal en ligne tchadien, a été tuée par son père en complicité avec ses deux fils. Il s’agirait d’un crime d’honneur.
On déplore la mort d’une petite fille de 10 ans calcinée par le feu. Alors qu’une autre personne est brûlée au 3e degré. Ce dernier a été emmené à l’hôpital, d’après toujours le journal en ligne béninois.
Lors de leur passage, ils ont molesté deux enseignants et ordonné la fermeture des établissements scolaires.
Le câble haute tension, dans sa chute, est tombé dans un caniveau rempli d’eau de la pluie et qui traverse le marché populaire de Matadi-Kibala à l’Ouest de Kinshasa, a indiqué La Guardia.
Après des jours de recherches infructueuses, le petit enfant albinos a été « retrouvé démembré et en partie désossé mardi dans le nord-est du pays », renseignent Radio France internationale.
Des sources officielles, a indiqué l’AIB, ont déploré la mort de trois policiers. Elles ont souligné également que deux soldats ont été blessés légèrement.
Le chauffeur ayant constaté ce qui s’est passé a pris la fuite. C’est sans compter sur la vigilance de la police qui l’a très vite rattrapé. Le mise en cause a été placé en garde à vue.
Les femmes ne pourront plus s’asseoir à l’avant des camions, a annoncé mercredi une association de commerçants d’une ville du nord de l’Ouganda, qui affirme que les jupes courtes et les cuisses dénudées déconcentrent les chauffeurs et provoquent des accidents.
Une personne aurait décédé lors de ces évènements. Tandis que deux éléments de la police républicaine ont été enlevés. Ils intervenaient afin de ramener l’ordre.
En effet la mort du jeune homme paraît suspecte. Selon les informations, certains parlent d’un « suicide, par pendaison », lit-on, tandis que d’autres évoquent la piste criminelle.
Ces individus armés, après avoir intimé l’ordre aux enseignant de cesser leur activité, sont repartis avec les dossiers d’examen.
Ils étaient venus dans un premier temps déjà le mercredi 26 janvier 2022 mettant le feu aux bâtiments de l’État civil et du service social communal. Le matin du jeudi 27 janvier, ils étaient encore revenus. C’est alors qu’ils ont brûlé le service foncier rural.
Selon plusieurs journaux en lignes, dont 24 Heures au Bénin, l’homme est conducteur de taxi. Alors qu’il se rendait à Lomé auprès de sa deuxième épouse, il s’est noyé lors de la traversée du fleuve.
L’information a été rendue publique à travers un communiqué signé le premier responsable du palais royal des Gê.
Cri de détresse, anxiété, émoi, c’était l’état d’âme qui avait gagné les riverains de la lagune ( Non loin de l’hôtel Napoléon) en début de soirée de ce mercredi 26 janvier 2022. En cause, le corps d’un jeune homme, mort par noyade, aurait mystérieusement disparu dans l’eau.
Le drame s’est produit à Bopa, dans le département du Mono.
Selon les informations, c’est une mauvaise manipulation du gaz domestique qui est à l’origine du feu qui a été vite maîtrisé par les sapeurs-pompiers.
Aucune précision sur l’identité de la victime ni sur ce qui s’est exactement passé.
Selon 24 Heures au Bénin qui rapporte l’information, « tout est parti de la disparition d’une somme de vingt mille (20 000) FCFA ». Une somme que la maman soupçonne son fils d’avoir volé.
Selon les informations, l’autorité locale blessée par ses ravisseurs a été conduite à l’hôpital.
L’agent de santé en effet lui a fait une injection. Mais l’état de santé de la jeune fille ne s’est pas toujours amélioré. Pendant qu’on l’emmenait d’urgence à l’hôpital elle décède. Malheureusement. L’agent de santé qui a fait l’injection est en fuite.
Cette semaine, la Gendarmerie nationale togolaise a communiqué le démantèlement d’un grand réseau international de trafiquants d’organes humains.
Les élèves de l’école primaire publique AGOE ANOKUI LOGOPÉ, (Commune Agoe Nyivé 1) ont le cœur dans la main. En cause, l’état défectueux des salles de classes font planer sur ces enfants et instituteurs, un danger imminent.
Mardi a lieu à Lomé, un braquage devant l’Union Togolaise des Banques (UTB circulaire) au quartier Nyékonakpoè. Des millions de francs CFA ont été emportés par les malfrats selon les informations.
Les ravisseurs en effet réclament plus de 10 millions de francs Cfa pour sa libération, a-t-on appris mardi du journal en ligne béninois.
Le maire de la commune Golfe-7, Aimé Djikounou, est en alerte sur certains services proposés par des institutions de microfinances qui selon, n’ont aucune base juridique.
Selon Seneweb qui rapporte l’information, le chef du village qui était « ivre au moment des faits » soupçonnait l’éleveur « d’entretenir une relation adultérine avec sa femme »
En effet l’agriculteur a été grièvement blessé lors de la bagarre qui a eu lieu le 14 janvier 2022 à Gogounou (Nord du Bénin) dans un camp peulh.