Népal, Madagascar…, ces révolutions lointaines qui font rêver les Togolais
«C’est une révolte ? – Non, Sire, c’est une révolution». Louis XVI Il y a longtemps, très longtemps que les…
Le portail togolais par excellence!
«C’est une révolte ? – Non, Sire, c’est une révolution». Louis XVI Il y a longtemps, très longtemps que les…
Cher camarade Président de la Diaspore Togolaise en Allemagne (DTA), Madame la Représentante du Mouvement du 6 juin (M66), Mesdames…
Peuple togolais, militantes et militants de la démocratie,En ce 5 octobre 2025, 35 ans jour pour jour après le soulèvement…
Dans une précédente tribune, nous avions interpellé sur l’urgence d’une République sobre au Togo, où la gestion des deniers publics…
Tensions au sommet de l’État togolais : alors que certains proches de Faure Gnassingbé, tous anciens hauts responsables de l’armée, croupissent en prison, les interrogations se multiplient sur la gestion du pouvoir et l’ambiance au sein de l’appareil sécuritaire.
La stratégie de la terreur, pour faire taire toute opposition au régime Gnassingbé, avait commencé avec le père Éyadéma. La…
Le sacre historique d’Ousmane Dembélé, Ballon d’Or 2025, éclaire autant la grandeur du talent africain que le paradoxe de son exil nécessaire. Dans une réflexion lucide et engagée, le professeur Folikoué Ekoué Roger interroge l’incapacité persistante du continent à créer les conditions d’épanouissement de ses propres élites. Une lecture essentielle sur l’urgence d’un sursaut africain.
Dans une nouvelle publication, l’activiste togoalais, Ayayi Togoata Apédo-Amah dénonce la dictature militaro-familiale qui étrangle le Togo depuis des décennies et célèbre la résistance des esprits critiques face à la résignation et à la complicité des “béni-oui-oui”. Il rappelle que la grandeur d’un peuple se mesure à la force de ses dissidents, et non à la soumission de la masse.
Monsieur Faure Gnassingbé, agissez pour un monde pacifique ! Monsieur Faure Gnassingbé, En cette Journée internationale de la paix, le…
Le 12 août 2025, le président Emmanuel Macron reconnaissait par une lettre envoyée à Paul Biya, le président du Cameroun, l’implication de la France dans la guerre coloniale qui avait eu lieu dans son pays avant et après l’indépendance en 1960, c’est-à-dire entre 1945-1971.