L’exception togolaise : Faure Gnassingbé, maître de l’illusion démocratique
Malgré la malgouvernance et les violations des droits de l’homme, Faure Gnassingbé reste le dictateur le plus à l’aise qui…
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Paul Arnaud DEGUENON Le drame survenu le 13 décembre 2024 à Agoè-Zongo, en périphérie nord de Lomé, illustre tragiquement les…
Ceux qui sont à la tête du Togo sont tellement cyniques et diaboliquement géniaux qui sont désormais capables de manipuler…
En clamant leur volonté de départ irréversible de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), les États…
L’actualité marquée par la commémoration des 80 ans du massacre de Thiaroye doit interpeller au Togo, dans lequel une nouvelle République a récemment été adoptée. Ce changement a été opéré sans explications préalables sur les vrais mobiles conduisant au basculement dans une nouvelle ère républicaine et son opportunité. Peut-on voir là une réplique d’un vieil événement tragique, orchestré par une minorité de Togolais, notamment des anciens militaires de la Coloniale qui fit passer le Togo du jour au lendemain d’une République à une autre : le coup d’État du 13 janvier 1963 ?
Fort d’une majorité écrasante à l’Assemblée nationale obtenue lors des législatives anticipées du 17 novembre, le PASTEF (Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité), sous la direction d’Ousmane Sonko, s’impose comme le principal acteur de la gouvernance sénégalaise. Cependant, cette victoire s’accompagne de défis majeurs, tant sur le plan des attentes populaires que des dérives potentielles liées à l’exercice du pouvoir.
La mise en place de la Vème République au Togo sous le leadership du Président de la République Faure E. Gnassingbé représente plus qu’un simple changement institutionnel pour le Togo. C’est l’occasion historique de refonder un nouveau contrat social, où l’État retrouve sa mission originelle : servir le peuple et non se servir de lui. Cette nouvelle architecture constitutionnelle doit être l’occasion de repenser profondément la gouvernance, en plaçant la transparence, la responsabilité et la justice sociale au cœur du projet républicain.
Nana Akufo-Addo, président sortant du Ghana, est-il mort pour avoir simplement respecté la Constitution de son pays après deux mandats ? Le candidat de son parti a-t-il disparu en félicitant son adversaire, reconnaissant ainsi sa défaite sans recourir à des stratagèmes honteuses ? Les Ghanéens seraient-ils des extraterrestres, capables de faire avancer la démocratie et l’alternance avec une telle facilité qu’ils forcent l’admiration du monde entier ?
Le Ghana vient de vivre une nouvelle alternance politique à l’issue des élections présidentielles tenues ce week-end. L’ancien président John…
Ce dimanche 8 decembre 2024, le monde assiste à une page historique. Bachar Al-Assad a fui la Syrie. Après 50…