Au Togo, on traque les blogueurs, pas les braqueurs, dénonce Kao Atcholi
Le président de l’Association des victimes de torture au Togo (ASVITTO), Kao Atcholi, tire la sonnette d’alarme sur ce qu’il…
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Le président de l’Association des victimes de torture au Togo (ASVITTO), Kao Atcholi, tire la sonnette d’alarme sur ce qu’il…
L’Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO) a dénoncé jeudi sur le réseau social X l’arrestation « manu…
L’Association des victimes de torture au Togo (ASVITTO) a salué la décision rendue le 25 juillet 2025 par l’Assemblée plénière de la Cour de cassation française, relative à l’immunité pénale des dirigeants et agents des États étrangers. Une décision qualifiée de « révolution judiciaire » par l’organisation, qui y voit un tournant décisif pour la justice internationale.
À l’occasion de la Journée internationale pour le soutien aux victimes de la torture, l’Association des Victimes de la Torture…
Au Togo, des organisations de la société civile, à l’instar de l’ASVITTO, ne cessent de dénoncer les traitements inhumains et…
Dans la nuit de lundi à mardi, la Cour d’assises de Lomé a jugé puis condamné 14 détenus politiques, arrêtés…
Le 28 décembre dernier, une grâce présidentielle a permis à plusieurs ex-détenus de retrouver la liberté au Togo. Cependant, certains, comme deux individus arrêtés le 3 janvier 2025, sont rapidement retournés en prison, soulignant les limites de cette mesure.
Le 13 décembre dernier, un tragique accident survenu à Agoé-Zongo, entraînant l’effondrement du tablier Est de la passerelle piétonne de…
Ce 10 décembre 2024, la Journée Internationale des Droits de l’Homme est célébrée dans un contexte alarmant pour le Togo,…
Ce 2 décembre 2024, journée commémorative de l’abolition de l’esclavage, l’Association des Victimes de la Torture au Togo (ASVITTO) attire…
Lors de son passage dans l’émission Le Talk, diffusée sur Global Africa Telesud, le ministre Christian Trimua a déclaré qu’il…
Cette semaine, plusieurs coupures d’électricité ont frappé la capitale togolaise, Lomé, laissant la ville sans courant pendant des heures. La…
Vendredi dernier, le chef de l’Etat, Faure Gnassingbé a tenu une réunion avec l’UNICEF, officiellement pour discuter des « besoins des enfants ». Seulement, cette rencontre intervient dans un contexte où les questions de sécurité des mineurs semblent avoir été négligées par les autorités compétentes.
L’Association des Victimes de Torture au Togo (ASVITTO) épingle les autorités togolaises. L’association les accuse de privilégier la répression des…
Le capitaine Casimir Dontéma, arrêté en avril 2009 dans le cadre de l’affaire d’atteinte à la sûreté intérieure de l’État,…
« Tous les efforts en faveur des victimes de la torture reposent sur les organisations de la société civile. Pendant ce temps, les institutions étatiques qui sont payées avec l’argent du contribuable pour la défense et la protection des droits humains ne travaillent que pour accroître leurs privilèges et leurs intérêts personnels », a indiqué Kao Atcholi, président de l’ASVITTO.
Dans un communiqué, l’Association des Victimes de la Torture au Togo (ASVITTO) informe l’opinion nationale et internationale de la nouvelle condamnation du gouvernement togolais par la Cour de justice de la CEDEAO pour actes de torture. L’organisation de défense des droits humains convie les autorités à procéder à l’exécution sans délai des décisions de la Cour de justice de la CEDEAO pour faire libérer les victimes de torture encore en détention arbitraire dans les prisons civiles du Togo. Lisez!!
L’Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO), à l’occasion de la journée internationale de la non-violence, exprime « toute sa compassion à l’endroit de toutes les victimes civiles et militaires de l’extrémisme violent au Togo, en Afrique et dans le monde ».
Aujourd’hui 02 octobre 2023, la communauté internationale célèbre la journée mondiale de la non-violence. A l’occasion de cette célébration, l’Association des Victimes de la Torture au Togo (ASVITTO), dans un communiqué, exprime toute sa compassion à l’endroit de toutes les victimes civiles et militaires de l’extrémisme violent au Togo, en Afrique et dans le monde.
La pénurie de carburant au Togo fait réagir plus d’un. Dans un communiqué, l’Association Togolaise des Victimes de la Torture monte au créneau et dénonce cet état de fait. Selon l’ASVITTO, cette pénurie de carburant est une énorme torture morale pour les Togolais.
Dans un communiqué, des organisations de défense des droits de l’homme et de la société civile alertent les autorités togolaises sur l’état de santé de plus en plus délétère des prisonniers politiques. Ces OSC évoquent le cas du nommé Yaya Soulemani, arrêté et détenu depuis le 21 décembre 2018, provisoirement et sans aucun jugement, de surcroît “victime d’actes de torture et de traitements cruels, inhumains et dégradants”, actuellement dans son 9ème mois d’hospitalisation au service Cabanon du CHU Sylvanus Olympio de Lomé. Lisez!
Au Togo, une dizaine d’organisations de défense des droits humains signent un texte commun dans lequel elles s’inquiètent de la situation des prisonniers politiques au Togo et en particulier de leur état de santé. Depuis quelques semaines, c’est celui de Yaya Souleymani qui les préoccupe.
L’Association des Victimes de la Torture au Togo (ASVITTO), dans une déclaration, salue la décision du gouvernement sur l’interdiction de la vente et de la consommation des stupéfiants au Togo. Elle encourage les autorités gouvernementales à créer un cadre national et inclusif de réflexion, afin de capitaliser les stratégies les plus adaptées à la cause. Lecture!
La communauté internationale célèbre ce lundi 26 juin 2023, la journée internationale pour le soutien aux victimes de la torture. Devant la presse ce matin, l’Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO) a saisi l’occasion pour procéder au lancement de son recueil des instruments juridiques pour la prévention et la répression des actes de torture au Togo.
Encore une nouvelle condamnation de l’Etat Togolais par La Cour de Justice de la Communauté, juridiction de la Communauté Economique Des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) dans une affaire l’opposant à ses propres citoyens. Dans sa décision de ce jour 07 Juin 2023 dans l’affaire dite de « Tigre Révolution » (Akoshi Sakibou & 9 Autres C/ République du Togo), cette Cour de Justice condamne l’Etat du Togo pour actes de torture, arrestations et détentions arbitraires des requérants et ordonne immédiatement leur libération.
Mercredi 17 mai a eu lieu en ligne en vidéo-conférence, l’audience relative au dossier Jean-Paul Oumolou devant la Cour de justice de la Communauté CEDEAO. Dans un communiqué, l’ASVITTO se félicite de l’initiative et reste très optimiste quant à l’issue du procès dont le délibéré est prévu pour le 31 octobre 2023
Sauf changement de programme, le chef de l’Etat Faure Gnassingbé se rendra dans quelques jours à l’Elysée, où il sera reçu par son homologue français Emmanuel Macron. Dans un communiqué, l’ASVITTO saisit l’occasion et implore le président français afin qu’il œuvre pour la libération des prisonniers politiques et pour le retour de tous les exilés politiques. Lisez !
Au Togo, l’Association des victimes de torture (ASVITTO) se félicite d’un projet de construction de 950 forages productifs, dans la région des Savanes et de la Kara, mais déplore que ce marché ait été attribué à seulement deux entreprises, « avec des risques de détournement de fonds », selon le président de l’ASVITTO.
En décembre 2021, l’ASVITTO a alerté le Président de la République et les autorités gouvernementales sur l’absence de l’État dans certains milieux de la région des savanes, caractérisée notamment par le manque d’eau potable, d’électricité et de routes, une des faiblesses de la gouvernance que les djihadistes exploitaient pour étendre leur recrutement et leur emprise.
Dans une déclaration rendue publique ce mercredi, l’Association togolaise des victimes de la torture (ASVITTO) réagit à la grâce présidentielle accordée, il y a quelques jours, aux 352 détenus du pays. Pour cette organisation de défense des droits humains, cette libération des prisonniers doit ouvrir la voie à une amélioration durable des conditions de détention au Togo. Lecture.
Arrêté le 17 avril 2009 dans une fameuse affaire d’atteinte à la sûreté de l’État, l’ex-député Kpatcha Gnassingbé a été envoyé en terre gabonaise le jeudi 23 mars 2023 pour des raisons pour le moment inconnues. Dans une déclaration, l’Association des Victimes de la Torture au Togo (ASVITTO) se prononce sur le sujet. Tout en saluant ce geste du chef de l’Etat, l’association de Kao Atcholi plaide également pour la libération des 2 codétenus du demi-frère de Faure Gnassingbé. Lecture
« Tigre Révolution », c’est l’affaire qui a défrayé la chronique au Togo en novembre 2019. Le dossier n’est pas clos, il est porté devant la Cour de justice de la CEDEAO par l’Association des Victimes de la Torture au Togo (ASVITTO).
Un ensemble de 11 Organisations de la société civile ont réagi à l’égard des assauts terroristes contre la Nation. Dans un communiqué en date du 28 Juillet 2022, ces organisations ont invité toutes les forces vives du Togo à prendre leur responsabilité pour enrayer ces attaques. En voici la teneur :
L’Association des victimes de la torture au Togo s’est prononcé mardi sur les attaques terroristes au nord du pays. Par communiqué, l’organisation a exprimé “ses vives émotions et sa compassion aux familles éplorées et souhaite un prompt rétablissement aux blessés”. L’Assvito déplore par la même occasion, l’absence de mesures anticipatives dans les opérations menées par les autorités pour une protection efficace des populations. Cependant, elle fait des propositions pour “pour corriger l’échec manifeste constaté sur le terrain des opérations”.
Dans un communiqué rendu public mercredi, l’Association des victimes de la torture au Togo (asvitto) a exprimé sa conternation face au drame de Margba qui a occasionné le décès de sept (7) adolescents. Présentant ses condoléances aux familles éplorées, l’organisation dirigée par KAO ATCHOLI, exige du gouvernement togolais, l’ouverture d’une enquête indépendante parallèle à celle des FAT.
L’Association des Victimes de la Torture au Togo (ASVITTO) n’oublie pas les détenus « dans l’affaire d’atteinte à la sûreté de l’État dont trois (3) sont encore en détention arbitraire, (les) victimes de décembre 2018 qui sont elles aussi en prison, (les) victimes dans l’affaire “tigre révolution” toujours en détention, la victime Jean Paul Oumolou et à toutes les autres victimes dont on n’a pas connaissance ».
L’Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO) écrit à Faure Gnassingbé, le chef de l’Etat, à « tenir compte des conseils pertinents de l’ancien ministre de l’Intérieur, Me François Akila Boko qui appelle à un renforcement de ‘’capacité opérationnelle’’ de l’armée et à ‘’veiller au moral des troupes’’ pour ce qui est des moyens militaires et sécuritaires » dans le cadre de la lutte contre le terrorisme dans le pays.
L’Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO) s’indigne de ce Jean-Paul Oumolou soit ” toujours gardé en isolement comme un otage par les militaires de la gendarmerie”.
L’ ASVITTO interpelle le Ministre de la Justice à œuvrer pour la levée de l’interdiction des visites dans les prisons. Ceci, en raison de la réduction du risque de contagion de la maladie du Coronavirus au Togo. Un plaidoyer lancé par l’organisation dirigée par Kao Atcholi dans un communiqué datant du jeudi 03 mars 2022. Par ailleurs, l’ASVITTO exhorte également les autorités gouvernementales à user de leurs prérogatives de remise de peine pour les détenus au Togo.
Le pays de Faure Gnassingbé est évalué au Conseil des droits de l’homme de l’Organisation des nations unies (ONU) pour son troisième Examen périodique universel (EPU). Selon l’Association des victimes de torture au Togo (ASVITTO), « le fond des réponses données par la délégation togolaise ne ressemble pas à la réalité que les Togolais vivent ».
Le Togo est passé, lundi dernier, devant la Commission des droits de l’Homme de l’ONU à Genève en Suisse. L’Association des victimes de torture au Togo (ASVITTO) note ses observations.
Depuis le mois de juillet 2021, les responsables de l’Association des Victimes de la Torture au Togo (ASVITTO) ont initié une formation à l’endroit des acteurs communautaires sur les principes et valeurs des droits humains. A l’issue de cette formation qui a fait objet d’une tournée sur toute l’étendue du territoire, les responsables de l’ASVITTO formulent des recommandations aux autorités du pays. Bonne lecture.
C’est une localité délaissée avec des populations vivant dans une précarité indescriptible que l’Association des victimes de torture au Togo (ASVITTO) était allée voir le 16 novembre dernier, après un communiqué du gouvernement faisant état d’une attaque terroriste dans la région. Cette association demande donc au gouvernement, à travers ce communiqué, de mettre en place un programme de développement, afin d’endiguer toutes velléités de terrorisme dans la région et permettre aux populations de vivre en paix.
Le bras de fer qui oppose le gouvernement aux enseignants, suite à la grève de 48 heures observée par la FESEN les 3 et 4 novembre derniers, n’a pas encore connu son épilogue. Surtout que le ministre de tutelle, Prof. Dodzi Kokoroko a révoqué au moins mille trois cent quarante-cinq (1345) directeurs d’écoles et entend prendre d’autres sanctions à l’endroit des grévistes.
Vendredi 5 octobre, le lendemain de son interpellation, l’Association des victimes de torture au Togo (ASVITTO) a réagi sur Twitter.
L’affaire dite de « Tigre Révolution » n’est pas close. Dans un communiqué, L’Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO) en parle. L’ASVITTO évoque les conditions de détention des personnes arrêtées dans le cadre cette scabreuse affaire. Très préoccupée par leur situation, ASVITTO formule quelques recommandations à l’endroit des autorités gouvernementales. Lisez plutôt !
Installée dans la zone franche et détenue par des Coréens, Mèche Amina avait, en septembre dernier, fermé ses portes après le renvoi de plus de 2000 ouvriers après que ces derniers ont réclamé de meilleures conditions de travail à travers une grève.
Même après avoir raisonnée jusque dans les hautes sphères du pays, l’affaire impliquant le licenciement de plus de 2000 ouvriers de la société Mèches Amina est toujours pendante.
Dans un communiqué, l’Association des Victimes de Torture au Togo (ASVITTO) a réagi à l’annonce du décès de Mme Nakpa Polo, présidente en exercice de la Commission nationale de droit de l’homme (CNDH).
Démarrée le 12 juillet dernier dans les communes des Lacs, la formation organisée par l’Association des victimes de torture au Togo (ASVITTO) à l’intention des acteurs de développement dans les communes va s’étendre sur toute l’étendue du territoire national. L’Association a rendu public un communiqué à cet effet.
Disposer des ressources humaines importantes en matière de défense, de protection des droits de l’homme à l’échelle locale, avoir des cellules efficaces de droits de l’homme dans les communes et assurer le développement des communes avec le respect des règles de droits humains, telles sont les attentes de l’Association des victimes de torture au Togo (ASVITTO) qui réunit, depuis quelques jours, les acteurs de développement dans les communes en une formation.
Mardi, l’Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO) a rendu public un rapport d’enquête sur les conditions de vie et de travail du personnel de surveillance de l’administration pénitentiaire au Togo (PSAP).
Selon ASVITTO et MCM, la coopération internationale doit servir le plein et entier épanouissement de tous les peuples de tous les États ; elle ne doit pas être utilisée pour asseoir la suprématie des uns dans l’asservissement et l’avilissement des autres.