« Le Togo ne peut pas continuer à être l’otage d’un système qui nie la souveraineté populaire »
Depuis samedi 03 mai 2025, avec la désignation du président du Conseil à l’Assemblée nationale et l’élection du nouveau président…
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Depuis samedi 03 mai 2025, avec la désignation du président du Conseil à l’Assemblée nationale et l’élection du nouveau président…
Au Togo, un front uni d’organisations de la société civile (OSC) et de partis politiques de l’opposition dénonce un «…
Dans une déclaration forte et sans ambiguïté, Nathaniel Olympio, président du Parti des Togolais et premier porte-parole du Front Touche…
Au Togo, une récente modification constitutionnelle prolongeant les mandats présidentiels a déclenché des manifestations massives exigeant des réformes démocratiques et…
Un collectif d’organisations de la société civile togolaises ont saisi, il y a une dizaine de jours, le Président en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) sur le changement de Constitution au Togo et lui exposent dix (10) bonnes raisons de ne pas l’accepter. Lire ci-dessous en intégralité la lettre.
Les manifestations de l’opposition contre le nouveau coup d’Etat constitutionnel devrait commencer ce vendredi 12 avril. Mais elle a été empêchée par les forces l’ordre et de sécurité.
Dans une déclaration, les responsables des partis ANC, ADDI, FDR, PSR et du Front citoyen Togo Debout (FCTD) dénoncent le nouveau report du double scrutin législatif et régional. Ils condamnent la manœuvre du régime qui cherche par tous les moyens à faire avaliser son coup de force constitutionnel. Ils appellent le peuple à des marches de protestation les 11, 12 et 13 avril 2024.
Un projet de Constitution a été adopté le 26 mars par les députés sans même avoir été entièrement rendu public. L’opposition et la société civile soupçonnent le président Faure Gnassingbé, au pouvoir depuis 2005, de vouloir s’y maintenir indéfiniment.
Constitué en un regroupement dénommé “Touche pas à ma constitution”, les acteurs de la société civile et des partis politique de l’opposition veulent faire barrage à la promulgation de la nouvelle constitution par le chef de l’Etat. Nathaniel Olympio, le porte-parole de ce regroupement est l’invité de Roger Amemavoh dans l’émission « Echo du Togo »
Le débat citoyen du 30 mars dernier sur la Télévision nationale concernant la nouvelle constitution suscite des réactions. Dans cette tribune, le Dr Georges WILLIAM-KOUESSAN, président du parti « Santé du Peuple », soulève trois points qui ont particulièrement retenu son attention au cours de ce débat : d’abord la composition du panel, ensuite le fond du débat, et enfin la présence remarquée des universitaires aux côtés des politiques. Lecture.
Face à ce coup d’Etat qui est initié, la Cour constitutionnelle se tait, comme d’habitude. Les magistrats n’ont sans doute pas la trempe de leurs collègues du Sénégal qui ont recadré récemment le président Macky Sall et lui ont enjoint de respecter la Constitution.
Après les évènements survenus les 30 Novembre et 1er Décembre dernier à Bissau, le président de la République Umaro Sissoco Embalo a pris en début de cette semaine un décret portant dissolution de l’Assemblée Nationale. Cependant pour l’opposition, majoritaire au Parlement, il s’agit purement et simplement d’un coup d’Etat constitutionnel.