Nous parlions à juste mot dans la précédente édition d’un pays comme étant, « …l’éboueur de l’Afrique francophone ». De père en fils, si de vulgaires scandales ont suffi à défaire des régimes politiques sous d’autres cieux, ils passent inaperçus dans un pays. Mieux, ils nourrissent la longévité du règne politique. Il existe sur le continent noir francophone un territoire dont le nom est associé aux scandales sans que les occidentaux, la France en première loge, y trouvent un problème. Le règne élastique se nourri de méthodes de voyou qui ne perturbent aucun pays voisin, aucune puissance. Pire, à chaque fois que le nom de ce territoire s’invite à un débat, en toute condescendance et ignorance de cette racine du mal-être africain, ils sont nombreux ces pseudo analystes qui s’empressent de parler de « petit pays d’Afrique ». Oui, Tout le monde le dit, même les « grands » pays sahéliens secs de l’Hinterland qui ploient sous le fléau du djihadisme.